nn manne Nous'ne trouvons guère de gens de bon sens que céüx qui sont de

notre avis. LA ROCHEFOUCAULD.

Vol. XII | à

EL

Organisation en faveur

| Observatoire| | Déclarati

de l’'Oeuvre du Collège LCI TENTE EUMMTENTMEUUTE

:MesGuinerie ou francopho-

La formation des Comte. Une souscription déjà bie? | : NOUVELLES DE GUERRE

lançée. Un appel à MM. les Curés prochainement

Sous ce titre, nous lisons di ù s lisons dans! Û | . FAction Catholique le passage sui- Lundi, 16 septembre ACCUEIL FAVORABLE AU MOUVEMENT ant qui se passe de commentaire: Les attaques aériennes du Reich , Le ue us vient de sur l'Angleterre ont redoublé de fu- Lun | | | , Changer le nom de la gare de Pé-! reu ue ee pour venir en aide au Collège des Jésuites: tain, situé à 90 milles Le Vancou- | "é. + + * ; : Ho a fait ces derniers temps un pas considérable, Avec:ver, en Colombie-Britannique, en/ Londres continue de bombarder a te ion de ses différents Comités elle entre de plein pied celui d'Odlum, du nom du générai Jes bases aériennes des A Hans a phase active. On trouvera dans une autre colonne Ie dé-! Victor Odlum, e-mma-dant de ‘a sur la. Manche et É Mer du Nord | tail compiet des diverses équipes qui auront, on le devine, à seconde division canadienne d’outre- + + % u assumer une tâche ardue. imer. Il nous fait plaisir de voir figurer au premier ran ïi Evi : i g les noms! Svidemment, nous n'avons rien. Berlin, avec Ribbentrop, R à

j jais LP ; . amon Ser- des personnages éminents du monde religieux et laique. En ac- contre ce brave militaire qui méri-.rano ce envoyé nr du gou . je. se à 3 à : H , : : : cordant leur patronage à l’'Oeuvre du Collège ils posent un geste tait, nous n’en doutons aucunement, verneînent de Madrid, a déclaré a élcquent. C’est l'approbation officielle du mouvement qui vient l'honneur que l'on vient de lui dé-. ministère des Affaires étrangères: d'être lancé pour aider financièrement le Collège; c'est aussi cerner. Mais pourquoi, pour lui 1en-:

«

une invitation à ce que tous suivent l'exemple donné en haut dre hommage, s'est-on attaqué à la i l'Espagne, à cette heure-ci, recher- : L'on ne sait pas ce qui s’est dit, ifiter d'une :

lieu et fassent leur part. _mémoire d’un homme, Henri-Philip-

En relisant la composition des différents comitsé on com- Pe Pétain maréchal de France, qui breuses sympathies dans le public. Membres du clergé comme rieux et sans tache. | |gérante, a-t-il ajouté, mais elle doit ! simples laiques acceptent de prêter un généreux concours. Sou-: Que le maréchal ait adopté, en la ‘tenir sa juste place dans le nouvel |

lignons en particulier comment notre Association Canadienne Crise que traverse son pays, des at- ordre, en Europe, elle a des droits! M. Roosevelt à fait entendre la tent les unes les

Française entend faire sa large part. titudes et des mesures qui ne plai- naturels qui découlent de ses tra-| Ces débuts laissent entrevoir à l'avance que le succès cou- Sent pas aux Anglais, qu'y pouvons-: ditions historiques et de sa situa-! ronnera nos efforts. Rien d’ailleurs n’a été épargné pour assurer!nous? Pétain doit veiller, d'abord, ‘tion géographique. Ces paroles font | ce succès: comité exécutif, comités de direction, de publicité, aux intérêts de la France. Il n'est! prévoir que l'Espagne va reprendre. de souscription, d'assurances et comité des prêts. itenu qu’à cela, et c'est à lui de ju-'ses réclamations contre l'Angleter-|

| + SH :ger ces intérêts “e trouvent. ‘re au sujet de Gibraltar.

! Le geste du Pacifique Canadien) CRE

= s CEA â . : : ; 5 se : . , !

Nous commençons à recevoir des échos du travail qui SaC-{s'inspire d'une mesquinerie dont ses! De la France non occupée parvient complit. Pour répondre au désir exprimé lors des premières ré- auteurs seront les premiers à souf- | aujourd’hui la nouvelle de la déten- unions, on recueille en ce moment des souscriptions au sein deifrir dans l'opinion des gens d’es- tion forcée de Léon Blum, incrimi- la population d'Edmonton. Il s’agit de prélever une première prit. A moins qu’il ne soit l’explo-; n6 dans l'enquête qui se poursuit au somme de $500. dollars que nos compatriotes canadiens-français;sion d’une francophobie toujours la- sujet de limpréparation de la Fran- ont promis aux autorités du Collège, lorsque celles-ci acceptè-' tente chez trop de nos “Britishers.” : co. rent de "naintenir le Collège à l'essai pour une autre année. M., Quant à Pétain, son nom est trop | ES |

! ir nce à Edmonton, a bien vou- grand ct tr au pour être écla- : J. Chatuin, agent consulaire de Fra cœàE ie our and ct trop beau pour être éel Mardi. 17 septembre lu prendre en mains l’organisation de cette première SsOUsClip-;boussé par une pareille petitesse.” ! i tion et doit faire rapport prochainement. Les souscripteurs! ! Alots que l'Allemagne continue,

nous dit-on, se montrent généreux. Il est à espérer que OST TRE no

‘a bombarder l'Angleterre, les An-°

accueilleront avec cordialité ceux qui viendront solliciter leur TR H ABSRQURG glais y répondent par les mêmes! ; | LA à 2HRPA v ‘arguments au dessus de l'Allema-

appui. . .

es A ro des _% * + ! : igne y compris Berlin. |

LI È "ne . e Ê CES . 0 . . à , «! Enfin le Comité de: Direction étudie la question d'envoyer; ; L'Allemagne continue à organi- |

sous peu une lettre à MM. les Curés des paroisses canadiennes-: a :ser les Balkans à son image ct à _ françaises. On voudrait former en chacun des centres de la pro-| L pape Att ice Zita loue la ni llaneé. vince un comité paroissial chargé de voir à prélever les sous-| Villa Saint-Joseph

| : . HE criptions au sein. de: nos groupements. Comme.nous. l'av ons déja; QUEBEC hd ou, Le maréchal Goering est allé sur-! souligné ici, tous doivent apporter leur appui et leur contribution; | REG 2, ÉOPORRE ARR ac ec ne da avion qu'il! ë oeuvre qui'a été fondée et maintenue pour le bien des d'Autriche ct les membres de sa fa it jui-mên ne Tous d’ailleurs, on-nous l’assure, sont prêts à accorder!imille viennent de conclure des ar-\P Vous , Fo AE ; de is pour iot il- : ee leur adhésion et anxieux de faire leur quote-part. Fe . nu a. ! Plus que jamais les Italiens jet-| La campagne.en.faveur du.Collège s'inaugure donc avec des, © 7 TR PrOPTEE SO ent. des yeux de convoitise sur le: promesses de succès: encouragement de personnages éminents, {n° US pour les| 'de Suez. S'ils parvenaient à collaboration généreuse de l’élément religieux et dique, succes Rens N'a ee d'années. sen.emparer, ils ruineraieut du mê-!

à D nt : s nc >e ropriété était auparava - à x : des premières démarches, oïfganisation prévoyant jusqu’au! te DÉODHETÉ EMAIL AUPRENANR come ES coup la suprématie anglaise en’

e sk stail inue sous le nom de Spencer Grange.’ \édirérrénce. Jude lbs troupes

moindres qeter ‘ganisation aille maintenant de J'a-!Elle cit située dans Je parc adjacent; j: “ie ee “di pu l

Souhaitons que cette ee 8 les es éroncesrCe sera La celui de Spencerwood, sur les bords | . RE vant, et que le sise AÉDASSE AMIENS ee BRETON OM.I du Saint-Laurent. Elle s'étend des li- Vue Eye “4 & %

à l'honneur des nôtres . : a ° Dee ‘: mites de la résidence gubernatoriale: c ne e 1

| : he | : omme on le sait l’Indo-Chine est D squat Se . a Le ss une des plus belles colonies que la: : : St, vra agni . La ai : : . cendre dans les ombr:s de ja, mort. lee ce A or France possède actuellement. Or on

eu gt ot n%e ga a da og of ae age fe aïe of ee ae as fe ele ete le- “hs Ce be CS d'abord Ar OCR 3 & * 8 oiatures | # %| Quand je parle de “barreaux”, | . rt es a-:

ea Dans le trou |. lui je pa e “barreaux”, | La plupart des membres de la fa-:

ca OP #|faut pas vous tromper et preñadre mille de Habsbourg sont actuellement,

se F 9 =

* A CQ

‘. cc FeC 5 Éiles barreaux d'avocats pour des bar-|aux Etats-Unis, cependant l'archidu- du è Goffeur ‘reaux de prison. Même si les avo-|chesse Elisabeth cest arrivée au cou-" AVIATEURS ; | É “|cats et les voleurs font des affaires | vent de Sitlery, pour y suivre les cours ! F —— *lentre eux autres, ils sont faciles à |de l'institution. La nouvelle résidence ——— à é - | reconnaître. Les premiers sont deS!de sa famille sera située à une faible: OTTAWA. L'aviation canadienne. La semaine dernière à Edmonton. | «rens de robe”, les seconds d de Seulement du couvent. D'au-: comptera, le ler octobre, 26,500 us une foule considérable s'est rassem-|«ens de camisole”. tres membres de la même famille se, mes, officiers et soldats, parmi a blée sur la Jasper pour assister à & *% * ! sont inscrits à l'Ecole des sciences sc- quels se trouvent plusieurs centaines : une.démonstration de bombes lacry- | ï mogènes. Tout le monde ‘avait son mouchoir à la main et renisläit. En Mais, qu’est-ce qu'un “Westerne:’'? | d'Autriche. il demeurera probablement | nistre de l'Air. Le ministre dit que les. voyant cela, un juif a pensé mettre J-n'at pas OUVE <cé nt: 15 -dine aus PS Une ur Te mReRe uñe-netite. bombe UE | Les dictionnaires que j'ai rongés. Ca les gendres pourraient renifler {e

De ce temps-ci, les journaux par-

$ |

EPP RP EEE |

Lee a a t doit être un de ces anglicismes que

| \

Organe officiel de l'Association Canadienne-Française"de l'Alberta

À EDMONTON, ALBERTA MERCREDI 25 SEPTEMBRE 1940

Avant d'entrer en conférence à:

: ‘Personne ne devra être surpris si |

‘che la compagnie des nations qui!

3 re x son ur. trop et ner is à sui ysubirent jadis les mêmes injustices : pee Syner. Mais 41 suite de

prend que l’organisation qui est en branle compte déjà de nom- laissra dans l’histoire un nom gio- | qu’elle”. L'Espagne n’est pas belli-: tie Conversation, Ribbentrop est

i vants de languc française et publiés

lbliée à 43, boul. de la Gare, Fou-

lent beaucoup des “Westeruers”. |l'archiduc Othon, prétendant au trônelau'a annoncé l'hon. C.-G. Power, mi-,

| notre force aérienne au rythme de; : 290 par mois. Plusieurs sont affectés: jour de l'enterrement de leurs bel, : l: BRIDGEPORT, Conn. La police.au AREA des.avions en différents: 1. , :

" l’on rencontre un peu partout dans i s DE t Billet du Nouvelliste

ne Ne t'étonne pas de rencontrer des ; | 4 à : ingrats dans le monde: contente-toi . : de n'en pas augmenter le nombre.

XXX

a

on du Gouverneur - Général

LES QUALITES PROFONDES DES Le, ne x ci mu RACES FRANÇAISE ET ANGLAISE

pliées, que le Japon convoite cette ! colonie, ce qui n’est pas sans in-

de Vichy. de Québec par S. E. le Gouverneur Général

1 1

i vd très heureux d'adresser la pa- | pays. C'était un cri de ralliement

‘role à un auditoire choisi, e: : s à & Par ses bombardements PR . Ô Oist, composé ; lancé à un moment tout semblait: S SucceS-; de citoyens qui comptent parmi les!

sifs sur Londres t l'Angleterre, PA . plus distingués ct les plus éclairé : perdu: La SAERESHON eue : . 4; : . plus éc airés , heure désespérément tardive et eile l x PRES à É e de Québec, et rep:on- êt illi ,truire des édifices qu’à miner la ré-: tant les deux grandes r et remten- ne put être accueillie avez toute Ia : 1 La Ê X grand races à sonia ts ë Se ‘sistance nerveuse de la population |tituent res dos ce qui Cons- considération qu'elle méritait. Et ce- : civile. { PDotrinian Ï de ce grand | pendant, je crois que c'étais l'une : . | : la race ais ot la: 4e : + + « Le ne ES de FANEMSE ct la des propositions les plus importan- ve g _ ai D de l'histoire. Si seulement quel- ; . : telle circonstance, .dit-il, qu'un avai æ lil y a quelques jours, entre Ribben- | pour comparer les coalite ° cn qu'un avait eu le courage €t l’ima- Le ue s q cs TespeC-; gination nécessaires pour la conce- ' res à e vares nfi Sa î : A i ee de deux races, afin de deeou- | voir et la présenter avant la guerre, : Vrit ce qu s : A ane Deere AS Paré DUR RON. . ne a en Ccomuiun, | l’histoire des quelques dernières an- : » La a ; ou ne et comment nées aurait pu être bien différente. | qualités differentes se png "Ge n'était pourtant pas une nou- autres, veauté. La suggestion visais à éta- :déva “Je voudrais roir m'exprimer | blir éta Dana conte enr -dér date le) ee is pour de m'exprimer |[blir un état de choses dons rons a- : De : Î als pour ex D N s Î- é ant ex lei a del dés canaboabof du Saint- ; qe. à ee expliquer mes i Le un éclatant exemple jei ai Ca- Laurent. dans la. partie: inéérfioc 2 2. plus a pour [nada et dont les avantages sont nale de son cours. M. King a déclaré ! Ne HE a A Se s : Mai sais anc a majo-| . qualités 2 ne. Conféience. presse quil Le . d eu Ja ta Quelles sont les qualités profon- Le ; ‘rité de nadiens rigi fran-: i N s& dai pourrait bien avoir-quelque chose à ue . a c + fran des qui font que les deux races dai- RE ë ci présents, sav anier jaive ssair re ? _ dire Lciéseus peu biie 40 | çaise, présents, savent manier a} vent nécessairement survivre? pour langue anglaise avec aisance; tan- .suit Son Excellene. Anglais et Fran- ‘dis que d'un autre côté, les Cana- cuis érité éni | $ Jeudi, 19 és ; di 1 Su iutre côt , les Cana ‘çais ont hérité du génie de leurs . | idiens d'origine anglaise ne possé- races respectives la même façon de dent peut-être pas un français très faire face au danger. Quelle nuiss : . É $ : cle nuisse Tandis que l'Angleterre continue | nuancé ; : ti ou Lu AtA 5 Q à D SA on Poe eh x HAE: Comme je fais partie de ces ‘avoir été la cause de l'effrondement e infernale sér : sise ; tunité oui & ; Éériens “les” bscad Fe ER * derniers, je prends l'opportunité qui de notre alliée, on ne peut certai- s. te ns Ë . a À . : es Se ns A à moi, en même temps que nement pas dire que les Français en Méditerranée bombardeni le lit-: : E St AT a ot EF ne Ro 4 1 la liberté de m'exprimer dans notre ont manqué de courage. toral de Libve et d'Egypte, OPÈ- | Jangue maternelle” | De plus, Français et Anglais ont rent les troupes itailennes du ma-; ; ; . da une £ te Spa | Je ne crois pas, poursuit en an-iun amour commun de ‘a paix. Si réchal Graziani. Ces troupes italien- à HU | : iitai: glais le gouverneur général, que lajnous sommes de bons militaires nes ne sont pas au bout de leurs ,°.".. 5 : DO CIE LU ‘civilisation future du mende puis-[ quand il le faut, nous ne sommes difficultés dans leur marche vers: A , 2 PAneituet rites . ; indrietet Ja levées de: Cal ise durer si elle n'est pas basée sur Jamais des militaristes. Nous nous de Ste | : Îjes anciennes traditions et les fa- battons avec fureur, mais pour ja . Due icons de vivre de l'Angleterre et âe paix. Nous haïssons la guerre. Stars four dame les con ‘Ja France. Cette condition même »st, Une autre qualité que nous avons re à ‘une grande source de force au Ca- en commun, je crois, c’est le res-

cessions territorales à même l’Indo- ; PRE k : : : "nada, Elle est, je crois, l'un de nos pect pour les choses de l'esprit. chine française, le gouvernement Pé-

tain, à Vichy, répond qu'il n'a rien : : ,

À Je : sq . PA _. à souvenez qu'aux dernières heures de autres races, ce qu'il faut pour a-

roir résistera on : LCR PR . ets

“os F is De 5 la résistance francaise en juin, il a; masser les richesses Mais nous n’en F ‘été suggéré d'unir la Franc: et|surestimons pas la valeur. Les Etats

BANNS DU avec une nn ble AIR DA CANADA AUTOUR DU GLOBE

te LT française.— | #ériennes britanniques de l'hémisphè- re occidental.

{lemagne cherche encore moins à dé-; de ]

semaine dernière que Washington ct

l 5 . OTTAWA. Les journaux sui-, HANOT, Indochine ! On apprend à la fois de soures fran- en France viennent d’être placés ne ; ee 1e Se ee a PRES la liste de ceux dont la transmission. l'armée japonaise DOUSralk pie : . s ibé iprendre pied prochainement en In-: TOKIO—La presse japonaise clame : par la poste est prohibée au Cana-. re : Le rêt à al t da: idochine sans avoir à essuyer de la que “le Japon est prêt à aller au bou ; os E dos de : ; : . Lee bn à La part de -ancs e sa politique en Indochine malgré “La Chronique de Fougères”, pu- 'ésistance de la part des Franç 2 rs. pc q HE ere gr Les négociations en cours abivti- l'opposition anglo-américaine” Des raient à l'autorisation accordée aux articles remplis d'espérance présagent Japonais de débarquer une armé: &e un arrangement au gré du Japon d'ici

“La Croix d'Auvergne”, publiée à ,*# dE eloies Joie 37, rue Montlosier, Clermont-Fer- 25,009 hommes. se AAESAIOME:

rand; ï “La Croix de la Haute-Savoie”,} MELBOURNE. Le premier Mmi-, yASHINGTON. Les Etats-Unis publiée à 31, rue J. J. Rousseau, mistre d'Australie, M. Robert Men-: cut fait savoir en fin de semaine aux Annecy; zies, a déclaré qu’à l'avion et la autres puissances de l'Amérique que “La Dépêche Vendéenne”, publiée : marine, l'Australie peut faire peu je bases navales et aériennes qu'ils

;

à 3, Place de la Préfecture, La Ro-;en Europe à l'heure actuelle, w&isi,,,jient acquises au cours de la se-

gères;

ciales de l'Université Laval. Quant à d'aviateurs des Etats-Unis. C’est ce: che-sur-Yon; ! qu’elle peut être appelée à jouer Un ;yoine de la Grande-Bretagne pour- :

“[’Avenir de la Loire”, pubtiée à | rôle capital dans le Moyen-Orient cb jent servir à toutes les puissances 4, rue Mi-Carême, Saint-Etienne; Singapour, dans l'Inde. 11 à ajou-!(1;; vougraient s'en servir pour coopé-

ee S i « iée à 22, boul. l{6 que l’Autrali nie er re . HN . laviateurs américains s'enrôlent dans: “Le Messager”, publiée à 22, boul, que l’Autralie envoie en Angle-',2, à ja défense de l'hémisphère occi-

des Bains, Thonon. lterre des armements considérables; jntar avions, munitions, fusils, bombes,” lete. À l'heure actuelle, 33,583 Aus-|; Itraliens ont été admis dans l'armée | MELBOURNE, Australie. Des pri-

les-mères. | HOuest, même dans la lettre du|vient de révéler qu'un message ano-\|centres d'aviation du pays. : al ne s + © Sittieux. L'après un habitant guilnyme aurat été reçu par les autortés] Dans le groupe de 26,500 hommes, i . e. | aérienne. a ne. ke P a ee Ra C $ ï F eu au \ * conti st nas bête “ca [de Brooklyn les prévenant que la mu-|se trouvent 15,000 hommes et 1,600; = ipar deux fois, mis le our: & “eanayers” continue. [est nas bête, un ‘Westerner”” ça L I 1 ; j AUS ARe »600 : re. 1 _ : r SE Eu de ue elures d'ai- i voudrait dire un homme qui ne sait !nitionnerie Remington serait dynami-lofficiers entrainés ici en vertu du; r'1 Dans un Port CARAER de FE Côte qui 1 transportait d'Angleterre . ee 2 es | | pas mettre son blé, parce qu’il | tée. : [plan inter-impérial d’aéronautique. | de l'Est. Le pavillon américain a; Australie, et De es gnons. + ; & % en a trop, ni son argent, parce qu'il s il Avec l'automne, vont renaître | été descendu du mât des premiers| explosion à bor 1. ] eure à I ff ou lettre d’unlr'en à pas les clubs de bridge. ‘contre-torpilleurs cédés par les Etats-| put aisément se les deux com- 4€ Ü eur a reçu une leltre Œun ee , : | : | : . : soit a à Siffleux. C’esl + | Avec les clubs de bridge, ne en échange de bases navales ct mencement d'incendie une vraie fricassée de compliments| D'après un nommé Thibodean, à | MESURES DU GOUVERNEMENT naïîtra l'habitude bourgeoise et!

et de reproches. Est-cé que c'est de! Los Angeles la pluie est si forte p | ma faute si j'ai été élevé-avec des! qu'il suffit de deux gouttes d’eau Li FTAIN gens qui sacrent en anglais. J'ai] pour mouiller son homme, C’est des | pas l'éducation des “giffleux” de la! gouttes trop grosses pour être ava- = es ville; j'ai pas le moyen d'aller pas- lées facilement. Une chance que les | . ser mes beaux dimanches sur le|lmitiers sont honnêtes. “Il Mt j + | bord du “Lac”; je ne fréquente iméê-l qu’ils en échappent une dans leur! VICHY. Le gouvernement Pétain a pris de nouvelles me-

me pas la maîtresse d’étole. Que lait; le p'tit lait serait clair-clair. !Sures pour cnrayer les manifestations coloniales en faveur du È mens lans un trou ne | général de Gaulle, chef de la résistance française à Londres. Il voulez-vous, je, vis dans un Ne Le Goffeur À Fe à tordre | t le déploi t

+ D : a autorisé les gouverneurs à interdire le port ou le déploiemen A lire en page ÿj: lettre d'un sif- |Semmncmereneenneeseneeeneeeneeeee | d'emblèmes indiquant l'adhésion à tout mouvement de nature à A: À D .: : F Lu DE PES

Dans les colonies

fleux au goffeur. 1 : : : z Le x + + LONDRES. Un nouveau type de: an au maximum peuvent être imposées. * s Un notable de Picardvitle m'avait héros vient de se révéler dans cette. Au Maroc, “un certain nombre de Français dont l’activité

ien dit, Pautre jour, que | à 2 : ; ins : : : ne ie l'avi ; re

: al Ée " vivre Étones à l'ombre! mais la Victoria Cross parce que cel-i I police et placés dans un camp à Bou-Denib. gaffes au club qui opérait l’hi-| Après avoir reçu du gouvernement français l'avis qu'il ne re

De ns F exemple Jes pauvres dia-'le-ci est réservéc au courage en face! Le déerct de Vichy stipulant que tout fonctionnaire public ver dernier. Et elles se concen-| connaissait plus les représentants diplomatiques de tous-les pays enez pal EX > Son / :

bles qui passent leur vie dés barreaux: que cest triste! jusqu’à Monsieur le Curé qui bo ‘’mace parfois ses paroissiens de des | plosées tombées en -torri

Quelques dossiers :

toire anglais.| fait quelques exceptions pour les naturels des colonies.

CE #

4 PCR) Mg «

A lire en

#

distinguée de faire une partie s

San d'a vou cie LE MINISTÈRE BELGE EST DISSOUS iles ennuis du jour. E Ce ‘qui constitue, d'ailleurs,|

lune facon absolument honnête! Les ministres sont relevés de leur serment ide perdre son temps avec élé-| . OUR gance. : Î VICHY. Le gouvernement belge réfugié qui rompit avec

.… Les demoiselles qui n’ont pas: le roi Léopold à la fin de mai quand le monarque décida de con- d'ami régulier, commencent dé-| ciure une paix séparée avec l'Allemagne, a quitté paisiblement

ljà à penser qui elles pourraient Vichy, sans démissionner, mais il a abandonné son effort pour ‘bien appeler au téléphone pour gouverner la Belgique à 500 milles de distance, sans communi-

| bouleverser l’ordre public. Des sentences d'emprisonnement d'un l'inviter à faire un bridge à!cations, contact ou autorité.

quatre, autour d’une table. El-| Les membres du cabinet se sont établis dans une, petite ‘les éliminent de leur club telle! ville près de Vichy. Ils ont peu d'espoir de rentrer en Belgique

= Se & & 7 à . Ua. Fe L était | guerre mais on ne leur accordcra ja-! andinationalc représentait un danger public” ont été cueillis par: ou telle jeune flle qui à fait des tant que durera la guerre. +

à l'ombrelde l'ennemi. Il s'agit des membresi duit être Français de parents français ou descendant directitrent toutes sur .le problème! occupés par les armées allemandes, Hubert Pierlot et See “Ktldes équipes de démolition du Génic'dés hommes qui ont combattu dans les armées françaises lors!très sérieux, de réunir dans ua! Spaak, respectivement premicr ministre et. ministre des Aff i es. me-! qui ont à déloger les bombes non ex-| des guerres de 1914 ct de 1939 a été étendue aux colonies. On so une demi-douzaine Te ont convoqué une séance du cabinet au cours de la-

{Suite à 1a page 7) quclle ils ont libéré tous les ministres de leur serment. |

adio Canada et l Ouest

! Le La , LEE » . a eee 1 gouvernement | RÉSUMÉ d’une conférence prononcée au Club Canadien

; L rspiotii mére CT LE | Mercredi. 18 septembre |bo Tite henri ant se dit d'a-| commune pour les peuples des deux

plus grands capitaux. Vous vous: Nous avons, plus encore que les .

FE Un matin de mai de l’an de grâ-! ce 1484, un jeune seigneur chevau-

chait allégrement sur les. routes d'Auvergne,

L'air était pur, plaisant à respi-| rer au sortir d’un long hiver; la jeu- ne verdure des prés enchantait les yeux, et les noirs sapins qui cou- vraient les hauteurs semblaient par-

renouveau. Etait-ce les trilles des merles cachés dans les sorbicrs ou le frais murmure du ruisseau cou- rant sur les roches qui faisait errer un sourire sur les lèvres du jouven- ceau? Etait-ce le plaisir d'approcher du but, l’attente de voir surgir, au détour d’une colline, les hautes tours du château de Montpensier qui l'empêchait de penser aux consé- quences possibles de son équipée?

EF iançailles d'autrctois

dent.

L'ère des Croisades était close, le

sol de la douce France délivré de-|la voir jusqu’à Montpensier”, mais puis longtemps des envahisseurs; jil n'osait le demander.

toute une jeunesse ardente, compri- mée par les craintes et les soupçons | rement pressé de prendre une déci-! du dernier règne, cherchait un

à son nthousiasme et à sa vaillance.

Madame Anne attira les fils de la | Ja volonté de Mademoiselle de Bour-| ticiper eux-mêmes à l’allégresse dues à la cour, les fit entrer dans ibun. Le lendemain, un des gentils-

la garde du roi.

Louis de La Trémouille, qui ne | de Toucy, qui était son ami, lui vint; rêvait qu'aventures et hauts faits apprendre qu’il allait par ordre dei d'armes, s'ennuyait au château duila régente, jusqu’à Montpensier, a- duc, son père. Il partit donc joyeu-'fin de savoir si la jeune demoiselle |

sement et s’habitua vite à son ser-

vice.

Son ardeur juvénile, sa loyauté: plurent fort à Madame de Beaujeu! qui, afin de mieux se l’attacher, parla de le marier avec Mademoi-

£a Survivance

roi et à elle. À vrai dire, il était fort courroucé qu'on ne lui dise: “Allez Un soir on l'avait particuliè-

sion, il s’écria qu’en parler ne ser-: vait à rien et qu’il fallait connaître

hommes de la maison du roi, Alain

Les navires français combattant | sous les ordres du général de Gaule arboreront un pavillion portant la

|nétait pas opposée à ce mariage. croix de Lorraine, emblème de Jean- Madame Anne disant que les choses ne d’Arc qui bouta l’ennemi kors du

avaient assez traîné en longueur et pays de France. Cette croix est 11

qu'il fallait en finir. lle dans le tableau ci-dessus. Voilà Louis de La Trémouille bier

Cmbarrassé: se marie-t-on ainsi sans

| | |

is

LDirrérExTEs FORMES" De'LA’cRoIx": "1% Ansée : 2. £reeuue; (3. Latine; 4, En tau; 5. Gammée:; ,$ De Saint-André: 7 | pale;n8., ANR z LME ‘Potencée ; « 10 Tuflée; 11. De Lorraine; < ‘12. _De_ Maite. ° i

Sobre en tout

Pa-

LETTRE AU COFFEUR”

N'était-il pas bien osé à Jui, Louis [selle Gabrielle de Bourbon, fille du avoir vu sa fiancée? Mais il savait | de La Trémouille, lieutenant aux comte de Montpensier, et descendan- | aussi que lorsque Madame Anne à-;, gardes du roi, après avoir sollicité |te du roi saint Louis. Orpheline de-: vait parlé, il n’y avait pas à protes-

Nouvelles le “sloe” (gin) me suffit

La ville de done Mon cher Goffeur,

un congé afin d'aller voir ses pa- rents, de tourner délibérément le dos au manoir paternel pour courir ies routes d'Auvergne ?

Il revoyait en pensée les événe- ments de ces dernières années. À la mort du roi Louis XI, de sombre mémoire, Madame Anne de France, épouse du sire de Beaujeu, qui avait le gouvernement de la personne du jeune roi, voulut lui attacher les princes et seigneurs. Elle, dont ie défunt roi avait dit: “C'est la moins folle femme que je connaisse”, com- prenait que, dans l'intérêt du jeune Charles VIII, il fallait faire oublier certains épisodes du règne précé-

puis peu, elle vivait au château de)

sès ancêtres. Madame Anne, qui pos-: sédait un fort beau portrait de la! jeune demoiselle, au talent de!

maître Jehan Fouquet, artiste ordi- naire de la cour, le fit voir à Louis de La Trémouille qui en devint fort amoureux. Il savait qu’elle était sa- ge autant que belle et désirait fort! ce mariage.

Toutefois, la grande distance qui: le séparait du pays d'Auvergne ne: lui permettait pas de lailcer voir, puis il eût craint de mécontenter la! régente. Souvent, celle-ci lui par-’ lait de ce mariage, il répondait a-! lors qu'il ferait ce qu'il plairait au,

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11 s’avisa alors d’un subterfuge. Il convint avec son ami qu'il irait) aussi à Montpensier, en habits dis- simulés pour rester inconnu, et fe- jrait luifmême la commission.

réal à appris que le gouverneur gé- néral le comte d’Athione et sa fem- me, la princesse Alice, ont l'intention [de visiter la ville de Montréal, les 7 et 8 octobre. Les autorités fixeront la. date exacte de la visite vice-royale | Il demanda donc et obtint un con- |sous peu.

igé pour aller chez ses parents, et | prenant délibérément la route du ‘Sud, il rattrapa le messager de la | père de trois enfants qui auraient re- .cour qui était parti la veille. fusé de saluer le“drapeau et de chan-

C'est pourquoi il chevauchait gaïc- | ter l'hymne national, a été arrêté enl : ment, ce matin de printemps. Ayant | vertu de la loi de défense de guerre. ilaissé Alain de Toucy et sa suite ; Il aurait dit à ses enfants, qui ont éte à six lieues de là, il n'avait avec exclus de l'école, qu'ils n'étaient pas!

lui qu’un jeune page alerte et dé- | obligés de. saluer le drapeau. , Voué.

KITCHENER. Lambro Gckeîïf,

!

4

:vit la masse énorme du château de | maire Camilien Houde a donné lieu à

‘Montpensier se dresser dans l’air | un vif débat au Conseil de Ville, alors ‘bleu. Bâti sur une éminence, il a-|que des échevins ont demandé l’inter- :vait fort grand air; avec son don- nement du président de la ar .jon, ses hautes tours, ses murailles La Gazette avait enfreint une ordon-: crênelées, il semblait dominer et nance de la censure pour publier. la

protéger le village accroupi à ses !céclaration du maire de Montréal

pieds. contre l'enregistrement. | ji La Trémouille touchait enfin au!

SR EPP GO SP PEN A ETS but! ||

qu’il priait la jeune demoiselle de

‘Et c'est le coeur battant qu’un peu plus tard, ayant franchi la poterre | répondre à la lettre et de la lui en- et laissé son cheval aux mains des | voyer à son logis. Puis ils prirent ‘palefreniers, il suivit le page qui de- congé l’un de l’autre.

vait l’introduire près de la dame de! La Trémouille dîna peu pour a- céans. Son grand manteau de voya-| voir le temps d'écrire à Mademoi-. ge enlevé, il apparaissait vêtu d’un Selle de Bourbon, et, ayant cacheté | pourpoint vert tendre et de hauts-;son épiître, il la confia’à son page,

la Survivance, lère page, la 4 lonne que vous signez hebdomadaire: ment.

RE É } En arrivant du “Lac” j'ai lu dans' co-

Votre nom de Westerner... je n'ai!

pas pu le trouver dans mon petit dic-| que “le Ctin! c'est hon pour les reins”. tionnaire. !

Vos articulets sont satisfaisants,

pour un commençant.

Vous écrivez bien: c’est court ct:

attrayant.

Vous avez beaucoup d'esprit, pour

un Goffeur. ï

Vos paragraphes ne sont pas tou-: jours clairs.

—et la clarté doit guider le styliste.|

J'entends beaucoup de compliments ;

Bientôt, au détour d’une crête, il| MONTREAL. L'internement du|en votre honneur, pour la bonne vo-| “Je pense que le Goffeur veut dire:

lonté que vous mettez à être intéres-, sant. Vous semblez être, comme mci, un pauvre siffleux, d’un naturel heu- reux, pas prétentieux, qui fait de son

mieux. Et puisque je vous écris, je _ grave: ; Vous mêlez trop d'anglais à vos! petites farces. | Je suppose que votre première édu-|] cation n'était pas française. | |

ile surlendemain, la régence recevair: à

la missive de Madame sa nièce, di sant qu’elle ne voulait faire autre: chose que ce qu'il lui plairait or-|

‘langue de &

lle “sloe” (gin) me suffit”.

: de: Quest-ce que le Goffeur veut dire

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‘de-chausses beiges, garçon d'esprit. Celui-ci, quand la gant comme s’il était à la cour. Seu- .le la poussière qui couvrait ses bot- Îtes noires à revers fauves montrait qu’il venait de fournir une longue chevauchée.

| Noble demoiselle Gabrielle de ila grand'salle avec son aumônier et isa vieille nourrice. Ils se retirèrent tous deux lorsqu'on annonça l’en- lvoyé du roi.

Louis de La Trémouille et elle se saluèrent gracieusement et, lui fai- sant approcher un siège, près de la haute cheminée, elle se retira dans l’embrasure profonde d’une fenêtre pour prendre connaissance de la imissive de sa bonne cousine Anne. |Le jeune seigneur, tout en parais- sant suivre des yeux un rayon de soleil tombant de petites vitres ser- ities de plomb sur le bois patiné [d'une crédence sculptée, observait la jeune fille à la dérobée.

Vraiment, maître Jehan Fouquet n'avait rien imaginé, et le délicieux portrait était encore bien au-dessous du modèle. C'était bien ces mêmes

}

velure fine et soyeuse, mais l’artis- te n’avait pu rendre la profondeur du regard et cet air de modestie et

| de sagesse répandu sur toute sa per-

sonne. Elle portait avec aisance et dignité une robe de velours bleu de nuit brodée d'argent, et les ailes de

isa guimpe, sa coiffure de fine lin-

gerie, achevaient de lui donner une grâce toute printanière,

| Sa lecture terminée, Gabrielle de! Bourbon revint prendre placé dans son fauteuil de bois sculpté, à haut | dossier ajouré, et dit avec une gran-

: | de douceur:

—Monsieur, la lettre que j'ai re- çue de Madame de Beaujeu porte que je vous croie dans ce que vous LA de par elle.

—C'est dit La Trémouille, jou- {ant le rôle du messager que je isuis chargé de savoir votre volonté | au sujet du mariage dont votre tan- te vous a parlé, de vous avec le jeu-

{né seigneur de La Trémouille, parce |: qu’on le presse de #e marier ‘ail. |

‘leurs. Je ne le vis jamais, mais sa

ie j'en serais heureuse.

—Je vous assure, Mademoiselle, ee s’il est en-votre grâce, vous êtes autant ou mieux en la sienne, et la chose qu’il désire le plus pour le

ensemble. Il eût bien voulu avoir la j commission de venir vous voir pour contenter son affection.

imicalement deux ou trois heures. Cependant, les serviteurs apprê-

+taient le dîner, auquel la jeune chä- |

telaine pria le gentilhomme. Il 8#’ex- cusa de ne pouvoir rester, disant

Gp RER PRES de se mais

-

vs em For Di,

»

alerte et frin-|

yeux bleus de lin, cette même che-:

présent, est que vous soyez mariés |

Ils restèrent ensemble à parler a-

compagnie fut partie, dit à la dame! j que son maître l’avait chargé de de- meurer pour avoir la réponse à re- mettre à Madame de Beaujcu. —Elle est toute prête. Et qui; donc est votre maître? Il a plus

gentilhomnie. j

—Noble demoiselle, il m'a donné ! lcette lettre pour vous être présen- |tée et m'a chargé de lui porter ré- ponse.

Il baisa l’épître de La Trémouille, et la lui mit entre les mains.

Dès que Gabrielle de Bourbon jeté les yeux sur cette lettre, elle | commença à rougir, puis pâlit. Et, ;se tournant vers le jeune page: | Attendez donc... Vous pourrez | ‘aller ce soir la lui porter.

! il ’] [ 0

hésitante. Elle sentait plus que ja-| mais combien lui manquait sa bon-, ne mère, rappelée à Dieu il y a quel-! ques années. À qui se confier? sa! vicille nourrice ne savait qu'approu-! ver tous les désirs de l'enfant qu’el- ile avait vu naître. Son père, s’il, eût vécu, n'eût certes pas désap-: prouvé son choix, et il lui eût plu d’avoir pour gendre ce chevalier de fière mine, au regard loyal, dont; Madame Anne de Beaujeu luï disait tant de bien.

Seule au monde, elle était bien o- bigée de prendre certaines initiati-| ives. Aussi, après bien des hésita-; tions et jugeant qu’une noble de- moiselle pouvait écrire au gentil- homme protégée par sa tante, elle |rédigea une brève épître.

Après le souper, elle expédia le page vers son seigneur, auquel il ltardait fort d’avoir la réponse. Cel- le-ci lui agréait, sans doute, car ce fut le coeur en joie qu’il quitta son logis pour aller retrouver le vérita- | ble envoyé de la régente, son ami, | messire Alain de Toucy, et lui remi: |.

|la lettre pour Madame de Beaujeu, |.

sans parler de rien autre. Ce gentilhomme fit diligence et, |

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Elle se retira dans sa chambre,

joyeuse. ih

Quelques jours après, Louis de La! Trémouille, qui était allé embrasser | sa mère avant de revenir à la cour, | à la fin de son congé, fut mandé par! le roi et Madame Anne pour parler!

Bourbon était alors à deviser dans|manières de prince que de- simple mariage.

Il fut bientôt d'accord, affection ne voulait pas de délai.

car: i

Les noces furent faites à F |

i

<on

les, au pays d'Auvergne.

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Des émissions anglaises, bilingues et francaises trans- mises parle .poste de la Société Radio- Canada de W a-|| trous (CBK) dähs la semaine du 1r au 7 RDtenos e 1948

|

MERCREDI 25 19440)

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SEPTEMBRE

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Dürée des émissions En minutes ct part du françai : - renithèses @) S entre pa

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ue Fran- Total du Jours | Total (3) Anglaisés @ Bilingues (5) caises (6) Hases CD. : crane SSSR RER am ee mes conne RUES DIR PA ER Sr à | Dinianëhé 1 960 ° 930 (0) 30 (2) OO (-) 2 ; | Lundi g00 975 (6) ‘15 0€) 8 5 Mardi 3 990 915 (5) 60 (6) 15 (15) 26 Mercredi 4 990 930 (10) 45 (6) 15 (15) 31 Jeudi 5 990 945 (4) 45 (9) 0 (-) 13 Vendredi 6 990 945 (6) 30 (2) 15 (15) 23 Samedi 690 960 (2) 30 (1) ü (-) 3 © ————— Totaux 6900 6600 (33) 255 (23) 45 (45) 166 Pourcentage 100% 95.65% (51%) 3.70% 65% 154% Mots eut (10.78%) (100%) Moyenne D NS : : par jour én 985 943 (5) 362 (4) 612 (612) 15.18 rhinutes Moyenne DE D ' par jour en 16 2/5 15% (1/12 3/5 (1/15) 1/10 4 | heures

os J

à.Ia s uile des terribles explo-

Voici ce qui reste de la poudrière de Ken avil dans le New-Jersey, sions qui détruisirent cet édifice de plus dc un rillien de dollars, occasionnant la mort à plus.

Î

sabotige

|

,

i

Pt PaN h

magnifique, a déclaré le maire John

Queen. de Winnipeg. aux journalistes. Le maire Queen est en route pour 12:

CO igrès des nitires américains qui se pire west pas une philosophie chrétienne qui va de pair avec 1 fiondra :

| NÔTES EXPLICATIVES ticüsément ‘détaillé, ét aussi exact qu’il est humainemient! . i ? dès’ émissions, la part faité au francais, aloïs que, le 8 mai, PIHILADELPILIE. À Monet iure Œü bicentenaire de l'Uni-: Fi ANS L QUE ST sions anglaises. |médiévales de Toronto, a donné une causeric sur le mouvement prémënt dités. Îl en existe trois par semaine maintenant "Rrlise is Les institu- CConomMique, ei cela avec une récolic non seulement les accompiissements de l'Eglise mais les institu- É deux communiqués . subséquénts, on s'était imaginé, en: “L’humanisme, dit-il, est inconcevable si la philosophie qui l'ins-:

à

‘{eirit une proportion de

massucrent les civils, ie ministre de l'a

[tres

. crues

Cinq sous ls numére

ee r ANNDË CANRAA nn 82.08 Etats-Unis ..... 82.50 Europe ns 83.00

No 51.

SUPERIORITE DE L’AVIATION ANGLAISE

LONDRES, Le ministre de l'aviation, sir Archibald Sin- clair, a annoncé que fa Grande-Bretagne a perdu, depuis le 8 laoût, 621 avions de toutes catégories et moins de 600 aviateurs pendant que lAllemagne pcrduit 1,867 avions et 4,000 aviateurs. ‘EH a ajouté que la diminution de I1 production des avionneries

aHemandes par suite des bombardements anglais qui ont atteint

ie moral des ouvricrs allemands en les privant de sommeil at- 30 pour cent.

Si: Archibald Sinclair concède que laviation allëmandé bé- néficie de Ex supériorité numérique ainsi que du fait que ses iloies ont à parcourir des distances plus courtes, maïs la Gran- ‘de-Bretagne a lieu d'escompter Ia victoire parce qu’elle possède du meïlleurs appareils ct de bien meilleurs aviateurs.

Même si les aviateurs allemands bombardent Londres et riation estime que le gou-

ivernement mançqueruit à son devoir qui est d'assurer la défense ‘de Ia capitale et du pays s’il occupait la Royal Air Force à des re- .présuiiles qui ia détourneraient de ses attaques systématiques

contre les obicctifs militaires allemands.

LES P PRONOSTICS POUR L'ENTRAL.

NEMENT MILITAIRE

Déclaration de M. ai ner

2

Ll

OTTAWA. 1l est possible que l'en | nationale dirige présentement j'en- ne soit uas obizré de mobiliser au- | trainement militaire.

classes que celles de 21 à 24 | Les premiers hommes appelés

ans pour obtenir le nombre de re-ipour l'entraînement, une trentaine

nécessaires au programme ide mille de 21 ans, recevront bien-

. d'entraînement obligatoire qui com-|Îtôt par la poste l'ordre de se pré- : mencera le 9 octobre, le ministre des services de : AL

C'est ce qu: .senter pour l'examen médicrl. S'ils æucrre, sont trouvés en excellent état pny- Gardiner, a déclaré à a Canu- sique, ils devront se rendre dans les dian Press, icamps d’entruînement. Î Les eclibataires et les veufs sans | enfants actuellement dans la classe : de 21 ans el ceux qui atteindiront . cet âge au cours des prochaines an-: nées seront les principales recrues” du programme d'entraînement, tel! que préparé par le ministère, a dit: M. Gardiner, au eours d’une inler-! : view.

Selon les renseignements donnés ‘par le ministre lui-même, le pro- gramme d'entraînement exige d'a- : bord que la classe de 21 ans fasse ! des périodes d'entraînement tren- te jours tous les ans. On a l’inten- tion d'organiser huit périodes de trente jours au camp péndant l’an- née, ce qui signifie qu’un total de : 240, 000 hommes seront appelés à Le ministre précise, toutefois, que | cette fin par le gouvernamnet, 11 est

! de 59 pérennes et en tüant 300 RUES: On parie de : PRES ; : ke (1) Comme celui la semaine du 3 du 9 féviier 1940, que nous AE Here | avüns publié 8 mai, ce TABLEAU COMPARATIF de la se-' L \ PE CE ECION GiON DONT TOUT L À SITU ATIGN i A possiblé, chacune des émissions de la susdite semaine. $ nous. avions rangé sous la rubrique “émissions françaises”! versité de Pennsylvanie, M. Jacques Maritain, professeur @e phi-: l É MONTREAL des idées. M. Maritain a insisté sur le rôle &e la religion dans fa d HOGE A Canada: ? ? , d'un quärt d'heuré chacune. | tions politiques et sociales. Ceci peut se faire par le néo-thomis-. Par ailleurs, nous nous étions rendu compte que, en dépit: me, qui est une ferme d’humanisme, mais une meilleure forme. certains quärtiers, que des programmes bilingues c'était la New-York. “Nos entrepôts. cet ordre donné aux jeunes de s'en- ! possible aïnsi, dit M. Gardiner, que mêmé chiosé que dès programmes français. A l'opposé, d’au- ne peuvent contenir cette récolte é-' traîner dans les camps de milice ! ‘la classe de 24 ans ne sübisse qu’une | cms | ‘norme, dit-il. et nos fermiers ne pou active non permanente n'est pas un! | période d'entraînement militaire, a- : vent vendre ce qu'ils ont moissonné”. opel aux armes pour la défense du | fin de laisser la place à ceux qui at- “Nous avons une récolte de 500,000, pays, bien que les exigences de la iteindront l’âge de 21 aris, l'an pro-

| 500 de boisseaux cette année. C'est ü-' guerre puissent modifier les projets: chain. ne récélie magnifique, ct nous avons! actuels. Le ministère de la défense l | |

haine ler aäu 7 Septembre est extrait d’un relevé minu-! af RE IMPREGNER | RESTE GRAVE . Il'difféëte du précédent en ce qu'il indique, pour chacune! les syllabes françaises qui se rencontr aient dans les émis-| lesophie à PInstitut catholique de Paris et à l'Institut des études C'est qü’il n’éxistait pas: alors d'émissions françaises pro-| crise actueile. Les principes religieux, dit-il, doivent br éener AU faire face à une crise agricole ct d’une note explicative au bas de notre tableau de février et| Cette doctrine ne néglige rien en lPhomme et tend à l'unité. tres avaient conclu que les 6 minutes quotidiennes qui fi-

théologie et ia foi.

LEON BLUM EST INTERNE

Sa carrière. Réquisition centre

güraient total quotidien étaient les seules minutes fran- Gaisës que nous 4vions à la radio-ouest alors que, en réalité, ‘il éût conventü d’ y'ajouter les quelques bribes de français qui! | .. prennent piace dans les programmes “bilingues”, soit, une: : moÿénne de À à 5 iinutes par jour. ‘Nous espérons que nouvelle disposition. de, sois tableau dissipéra toute ambiguité.

M. Gardiner croit qu’il y a am- | plement de célibataires et de veufs sans enfants dans les classes de 21 à 24 ans, comprises dans la pro- clamation publiée samedi, pour sa- tisfaire les exigences du program- me d'entraînement durant douze mois. L'inscription nationale avait ‘révélé, il y a un mois, un total de 290,000 célibataires et de veufs sans enfants, non dans l’armée, de Pâge de 21 à 24 ans.

Lorsque la première période d’en- traînement sera terminée, le premier appel à l'entraînement ‘uifectera la classe de 21 ans, soit celle de 20 ans présentement. Selon inscription, cette classe comprend 90,000 jeu- nes gens.

L'année suivante, c'est-à-dire dans ! deux ans, la présente classe de 19 ans aura atteint l’âge de 21 ans. | L'inscription a démontré qu'il y a environ 96, 000 jeunes gens de cet âge,

Le ministère est certain, dit M. : Gardiner, que même si un grand

Le capitatne V. G. Brôdeur, de nombre des recrues appelés pour Ja Marine royale du Canada, qui: l'entraînement s’enrôlent dans l'ar-

- lun HER de 200,000,080 de l'an der-

Bluni A nier”

VICHY, France. Léon Blum, Juif tait en 1914 Après la guerre, il s'a-| en France mais d'origine bulgare, 'charna à récrganiser le parti socialis-; ancien président du conseil de Fran-|te et fonda le journal “Le Populaire”, ce, à rejoint les deux autres.anciens tombé à la veille de la Bataille de présidents du conseil, Edouard Dala-| France. Der dclheure Ge Le total des émissions quotidiennes est le même qu'en février. Gier et Paul Reynaud, au château de! M. Blum fut longtemps chef de'

-Maïquons toutefois que les émissions de nouvéilés SOUS:Chazeron. Il est détenu à son tour j'opposition. Toul en gouvernant à u- une forme ou une aütre ont considérablément augmenté | comme résultat de l'enquête qui Se.ne certaine façon par leur influence; de l'ouest, dit-il. Le blé sera en gran- depuis février puisqu elles forment aujourd’hui un total quo-! poursuit à Riom sur les responsables Jes socialistes S.F.I.O. (section fatal de demande après la guerre pour tidien (durant la semaine) de 3 heures 8 minutes contre l\de limpréparation de la France à la caise de l'Enternationale ouvrière) nel nourrir lFhemanité, Cependant tous heuré 15 minutes en février. Sur ces 3 heures 8 minutes, guerre. Dans ce château féodal sont'souaient pas accepter de par tic les marchés sont fermés, sauf celui de nous demandüns qu'on nous donne 15 minutes en français et|aussi le général Maurice Gamelin et. tion au gouvernement. Mais les évé- [ia Grande-Bretague”,

| Le maire a dit que la situation est

irès grave pour l'économie de l'ouest, set il ajouta que les gens de l'est ne se rendüicné pas compte de la gra-

(2) La part du français, dans les émissions anglaises, bilingues! . et françaises, figuré entre parenthèses pour mieux permet-; tre. de constater la proportion faite au français.

“Ce n'est pas In faute des fermiers

|

nouvel

à, s’est révélée

(5) La semaine du ler septembre, prise au hasar 4 sémaines illd

plus prolifique de français que bien d’autres Fe y a moins de programmes “bilingues”, soit parce que C ’esti . le tour de Toronto à donner tel concert ou tel récital ne

seraihe äu 8 septembre par exemple —, , SOÏt pe que on a

un SE EXPLOITS DU 22: BATAILLON

Malgré cela, on constatera ce que signifie le à des programmes dits “bilingues”. Concrètement, il se réduit à une moyenne, pour les boniments et les chants quand il y a lieu, de une minute et demie de français par quinze minu-| MONTREAL. Les membres du 22e bataillon, régiment canadien-: français qui s'est distingué durant la Grande Guerre, ont observé deux (Suite à la page Es]

_tes d'émission. Nous reviendrons sur tout cela Iorsque, dans un commu- anniversaires importants d’exploits ! - ; A accomplis par leur bataillon. Das a

on veut pas HOUSE accorder! l'ancien ministre de l'intérieur GCoï- noments du 6 février 1934 jetèrent les! cai issi ges Mandel, Juif lui aussi. Sur ICS. difrérentes nuances de socialistes: Fe DR de en jaérable une ee de a internés administratifs, fl y à, dans les bras les uns des autres, no-; à À HD ANCE A nr Sas de 990 que CARS ES | deux Juifs. Quant à M. Jean Zay, Au- famment Daladier ct ses radicaux- : à a tre Juif, il passera vraisemblablement ! socialistes. En 1936, Blum prit le pou- , En T j ADer Se RARES principalement ne ds d'OPÉTA, | gevant un tribunal militaire. voir, institua la loi des 40 heures de: RRE NE PAR E À- romances, chansons diverses, refrains de café-concert.. Lors de la réunion de rAssemblée | rayail dndbte. cb achee Ce n'est point parce que nous somimés däns un pays bilin- latontlé à Vichy, M. Blum y assislà! de grèves sur le tas, notamment aux: GERA P ÂS gue due ces chants français nous vienhent. Nous en aVONS'et vota avec environ 80 autres déPu- «chantiers de l'Exposition de Paris. On! J Eu dans les progrämmes‘échange de la NBC ét dans les pro-\{és contre la revision de la Constitu-|puceuse depuis d'avoir paralysé la grammes commandités aussi bien que dans lés programmes tion. oaudiotEne se eu motent où, propies à la SRC. Et la part faite aux chants italiens, eSpa-| jy, Blum, qui s'était fait quelque: était plus nécessaire que jamais de WASHINGTON. Le gnols, allémands, russes::., est sensiblément miêmé. réputation comme haut fonctionnaire 1, stimuler. M. Blum qui avait tou-'ambassadeur de France à Washing- au conseil d'Etat, devint à la mort uxs prêché le désarmement, mais ton, M. Gaston Henri-Ilaye, dément - ù “4 Jaurès l'héritier du parti socialis-! re: s'est trouvé à faire voter catégoriquement et officiellement la| vient d'être Home AÉRE ni de en sommeil depuis BE ans. C'é- jes plus hauts crédits militaires. 11 a- nouvelle publiée dans certains jour- la Légation Canadienne de Washing- A . ne lyait pour ministre de l'aviation Pierre naux disant que l'Allemagne avait | ton. Auparavant, SRE nas Le or militaires. Cot, le premier parleméntaire que la’ demandé ou obtenu de partager sur | forces navales du Pacifique. en ! Cour de Riom ait formellement aceu- une base de 58 pour 100 en sa CS Le d'avoir menacé la sécurité de J'E-{veur les produits de la France libre | RADINOUEST FRANCAISE . (M. Cot est aux Etats-Unis). On ainsi que ceux qu elle pourrait re- RADIO- QUEST FRANC a aussi accusé Léon Blum d’avoir : cevoir par voie d'importation. | permis l'expédition d'avions et de ça- | ne de à : dt Inons en Espagne pour y aider les 6 air en PS Cac [EMISSIONS DE RADIO-CANADA, A CBK, WATROUS, 54 ments communistes et républicains. | journaux des Etats-Unis et, apres | Be PACGITIQUE Blum s'est opposé 7 javoir consulté Vichy, la déclare ab- lsolument fausse.

LE MARDI de1h.45à2h.— TOUS POUR LA VICTOIRE,

discours sur les buts et la poursuite de la guerre par crateurs éminents.

LE MERCREDI de 1 h. 45 à ?

des niqué ultérieur, nous détaillerons uñë semaine de program-

HS “bilingues” h. LOUIS FRANCOEUR,

.

ls | Ù nu

. les éénements du jour, par Louis Fran- Een ner ete amer de ne dose) LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE” me ÉRPaTe cela, depuis le début de juillet, sont, par truchement leyingkdouxiène” débarquait en ni PRE Er 60 do

LE VENDREDI... de1h.45à2h. radio-roman par le Dr Claude-Henri Grigno

canadien-français.

POSTE CFGP, GRANDE PRAIRIE; 1300 kilocycles TOUS LES DIMANCHES, de 1h. à 1h. 45 P.M. Programme français sous le patronage du Comité Régional de l’A.C.FA.

de la Rivière-la-Paix.

disques envoyés à Watrous et joués chaque semaine par Ce! prance. Un an et un jour plus tard, poste: TOUS POUR en LOUIS FRANCOEUR, UN; le 16 septembre. 4916, il enlevait HOMME ÊT. SON. PE

n, romancier

3

; réc} Pét tain id t tout seuls. Courcelettes aux mains ces Ale- D'aprè a le Ma échal

Ces. trois, disqués ne tournent évi emmen pas nds. | 4 | _.— ë qua : préposé Upon ne unilingue, il - À la suite de la célébration de 5 > Mr France. Dans rtippe Pétain a : peut ju arriver de se tromper, n'est-ce pas? C’est ainsi que étas au manège. des Fusiliers | Peux- ns üib ne peut exister qu’à Pabri d'une autorité deux fois le même disque a été joué deux semaines de filé Royal, les vieüx soldats ont La one - a et dd de Kia Iissé depuis bien défilé jusqu'au earré Dominion, sous | sis Le nes d. progrès universel est absurde. Les au sn & bed ménagères en cruellj, direction du sergent Raoul Tail- RÉRSES sors Lens . or nee sur le plan corporatif sous suspens, (étant donné l'heure les disques sont joués, il jefer, présidênt aveugle de la se of ne a vent être s pr ses). . pe > cale “Le libéralisme, le capitalisme et le collectivisme, écrit en-|

programmes). des amputés. Le sergent Tafieite core le maréchaï, sont des produits étrangers importés.en Fran-

| a déposé une couronne au: pied du : DS retetté naturellernt. (TEL dass naine AE EE , ées dañs les pro me |cénotaphe. Rd . et aitic a de la République française: liberté, minutes de français qui s'étaient nichéee ans M EU a del Les vétérans fret ensuite el. ER SO dtaient à bien belles choses, dit le maré- mes. “bilingues”, ‘nous aurions obtenu, comme grarid 10 cércle autour du monüment, pendant | égalité et fraternité, Le ue vT Sormais on enseignera à la français, de 10,à il minutes. éh moyeñne chäque.jour- que le colonel Joseph Chaballe pra-! | chal avec une pointe d ironie, mais dés ur réalité, stone nous, avons. ‘15 minütés ét 18 sécéndés. nca ümé courte alloention. “Les &- | jeunesse française à avoir les yeux Sur la . ae à, progrès harceler g “rl ne nous satisfait pas de donner à la jeunesse la liberté |

ë évidemment! Mais nous avons mes des vétérans défunts entourent | . ; e jeter

la RE pour y BÉty “Et.15 minutes sur 16 heures 20 d'é- “ice cénotaphe, dit-il, invitant les jeu- | de moürit de faim, même si cette liberté confère Ie droit de j

ae c’ "est join, in: tans Furne électorale.

finiment loin de ce ques nous avons! ter le flam- | un bulletin dans . . nes générations à porter : Dieu”, doivent être plus =. Hi amd beau qu’ils ont luisser tomber et; “Les horitnes, “qui. sônt égaux devant

iVrÉ, ns. u l

|

son _ meilleur . D...

février, nous avions ajouté, aux six

Le thé à

,

Ce bilingue. î en dehors à combattre encore une fois contrée | égaux devant la loi ét avôir une chance égale de ts ne lès “hoïdes net conduites par “La tratefnité est un idéal magnifique, mais seulement | a - ides groutes notzrels. comme 2 famille ct: la natrie”, i

Ca

A:TRAVERS LA À CORRESPONDAN], CE OFFICIELLE

| QUELQUES SPECIMENS

GEES DEPUIS SEPT ANS

“A ä demande des Associ

ations Nationales de l'Ouest

* Lettre

de la C. C. R.

- 18. décembre 1936. IL. importe peu que des program- |

DE LETTRES ECHAN- ie français soient émis de.Calga-|

ry, de -Saskatoon, de- Winnipeg ou d'Edmonton; mais ce qui leur im- porte,. c'est que ces programmes soient le lieu d’amitié, le porte-pa- role des Canadiens français de l'Ou-

‘nous publions aujourd’hui quelques dossiers concernant|est à ceux de l'Est.

_le problème si longtemps çaises pour l'Ouest.

Dans les premières

réponses en regard des lettr aux autorités de Radio-Cana

comment cesréponses sont

débattu des émissions fran-

parfois laconiques, PAL ÉOIS en

prometteuses. Mai depuis sept ans rien ou à peu près

n’est venu.

idiens-français de

Qu'on nous traite, nous, Cana-

ceux de la province de Québec trai-

colonnes. nous avons publié les |tent les anglophones de chez-eux, et es qui avaient été envoyées |nous serons satisfaits.

Lettre

de l'Ass. C. F, C. de Sask. à M. Murray, gérant de R.-C. à l’occasion

sëmble toute une série de démarches tentées auprès de | trous. Radio-Canada et “quelques autres promesses”.

Ceux qui se dônneront la peine de lire ces dossiers

ne manqueront pas d’être “édifiés”,

mieux la position: de nos Associations Nationales.

Soulignons de nouveau que ce *est à qu’une infime |]

partie des dossiérs officiels.

7 juillet 1939.!

Lors de notre entrevue du 17 mai

que tant que la Société ne possé-

derait pas de poste à elle dans}

l'Ouest, il lui serait pratiquement

impossible d'améliorer sensiblement |que CB

la situation qui nous était faite dans

RE . Île domaine radiophonique. Par ail-

Lettre

de l'Exécutif de l’Asé. d'Education des C. F. du Manitoba. à M. H. Charlesworth, président de la C.CR.

8 février 1933

Nous prenons la liberté de voss soumettre ce qui, nous semble-t-il, est de toute évidence une sérieuse anomalie dans les émissions radio- phoniques de la Commission de la Radio. Tout: appels de signaux, an- nonces, notices explicatives, tout se fait exclusivement en anglais.

Une émission radiophonique trans-canadienne unilingue est une utilisation incomplète de la radio-

. diffusion.

Les Canadiens français du pays tout. entier, et particulièrement ceux qui habitent les provinces à msjo- rité anglaise, et qui ne peuvent cip- ter les:émissions spéciales que vous faites peut-être dans la province de Québec, constateront à TéErer ue

l'avènement de l'étatisation de la radio est pour eux une désiliusion et un désappointement. Et ce que nous demandons pré- sente aucune difficulté d'exécution. Pour ces raisons, nous prenons la liberté de vous suggérer de rendre

bilingues - vos émissions radiophoni- |

ques dans.la mesure dans: laquelle le Pacifique Canadien le faisait au printemps de 1931. Evidemment ce- la comporte du bon français bien parlé. + +. Réponse Lettre de la Comrission Cana- dienne de la Radiodiffusion à l’ass. d'Education des C. F. du Manitoba. le 21 février 1933 “M. Charlesworth m'a donné ins- truction d’accuser réception de votre lettre du 8 février et de’vous assu-

rer qu’elle. recevra la bonne consi- Jeune de la: Comunission,

—————…————

| Lettre

dienne de la Sask. à M. Charles- vont prés. de la C. C. R

25 février 1933

Permettez-moi d'attirer votre bienveillante attention : sur un fait qui ne laisse pas d'émouvoir ia po- pulation de langue française Ge la Saskatchewan, dont notre Assotia- tion est le porte-parole.

Ii n'en est pas moins infiniment ‘regrettable de constater que jus- qu’ ici pas un seul mot de français

| n'a été prononcé aux concerts de la Commission...

‘Pour être vraiment canadienree, ces émissions doivent être Hire, toujours bilingues.

Dans ce domaine, les concerts . lingues de la Commission Canalien.- ne seront de véritables agents i'en-| tente cordiale.

Lettre

| de. VAss. Catholique: sr

Réponse de Radio-Canada à l'A. C..F..C.

entend respecter tous les droits lé- gitimes du français au Canada, et, à cette fin, il a été décidé que des programmes seront irradiés le plus tôt et le plus

s

souvent possible à

D

de Montréal. ° 8 +

-Réponse

à l'étude dans nos studios de Radio- Canada à

VA. C. F. C.

î le 7 mars 1933

| Comme M. le Président vous l’as- sure, la Commission ‘de la Radio- votre requête.

ES

diffusion donnera à toute la considération qu’elle mérite.

2

à 4

vous vous apprêtez à

"dé Ass. d'Education des C. F. du} En sommes nous vous avons deman-

"| ROUS,

| Je 7 mars-1933: Je désire vous informer ‘que la Commission de ‘la Radiodiffusion

entièrement français

travers tout le pays. Ces programmes sont actuel-

nous en don- ner. Mais là: n’est pas la question.

leurs vous m’aviez assuré qu'aussi- tôt que la Société posséderait un poste, il lui serait possible de faire : droit à nos justes revendications. Avec l'inauguration de WAT-! les conditions - d’établisse- ment ‘d’un juste horaire se trouvent

Réponse

de la Ligue des Radiophiles Franco-| de Radio-Canada à la Ligue ‘des Ra- Albertains, à M. A. Frigon, gérant diophiles,

Je 22 janvier 1937 | :

En réponse aux nombreuss lettres que vous m’avez envoyées récem-| iment, je puis vous assurer que tou- tes les. questions que vous nous sou-

mettez sont à l'étude et que vos re- |

vendications seront considéréés a- vec la pius grande sympathie,

FE

Ï lPOuest comme

da. On verra facilement | : Fe oo de justice qui doit animer tout corps

justifiés de revenir à la charge.

Dans les dernières colonnes, nous avons groupé en” Nos griefs et le minimun auquel 8 PE de linauguration de CBK, à Wa-\| nous nous attendons se trouvent ex-

posés. dans le Mémoire que nous

vous avons présenté.

Réponse.

* et ils comprendront|1947 à Régina vous m’aviez indiqué de Radio-Canada à VA. C. F. C.

le 13 juillet 1939 Je puis vous. dire dès maintenant K Watrous émettra de nom- breux programmes “d'intérêt tout particulier pour nos compatriotes de: langue française. Plusieurs ‘de ces: programmes sont maintenant trans- d'égalité. Donc nee doter Conte

portée sur notre réseau, mais sou- postes . appartenant à privée.

Je: ne manquerai ‘pas de. porter

donc réalisées. Et vous comprendrez | votre lettre à la connaissance de M. aisément que si nous avons voulu | Murray dès son retour.

Résolution

de l'Association Canadienne-fran- çaise de lAlberta au congrès du

mois d’octobre 1939.

“L’A. C. F. À. désire attirer l’at- tention de Radio-Canada, sur le fait .qu’il n'existe dans l'Ouest aucun ser- vice de nouvelles en français. Con- séquemment les. Can. “français ‘de notre province ne sont pas parfai-|

tement renseignés sur les évène-!

iments-courants du -pays:et.du :mon-

1 de” “entier,” ;C'est pourquoi - J'Associa- | tion: démände que. Radio-Canada : cett

les postes locaux privés organisent à cet effet un service- convenable

“de nouvelles en français.” 1.5: rite

GE Lettre : de VA. C. FE es à Radio-Canada. L

7:15. ‘décembre. 1939.

Ce que nous voudrions, ce que nous avons demandé à maintes re- prises, ce sont des programmes vé-

ritablement français:

Protestation des Associations Nationales POuest auprès ‘de Radio- Canada.

de

Bien que nos lettres du 19 mars, 19 avril, 1, 2 et 9 mai aient abouti

24 août 1940

Réponse

de Radio-Canada à l'A C. F. A. ps

pas votre lettre du 31 octobre adres-

recevra toute. la ‘considération .qu’el- jle mérite. : EE

. + dE

D

& ‘Radio- Canada à FA. C FC. 12. janvier. 1940 “très. bien - le : désir françaises ‘de-Ja-province de Québec, unes de ces suggestions:

FAURE

LÉFi

Er e: éomprends

que vous avez d'entendre les émis- sions en langue française de Radio- Malheureusement nous 2-|

onférences nouvelles se vons un bien grand pays, et telä|sies qui saynètes, Teporiages, : | présente à certains moments des in-

Canada.

as très sérieux.

Je ne vois pas très bien ent de Hi serait: possible pour -un certain |temps à venir, de modifier cet état. | de chose. Vous pouvez: ‘être assuré que le personnel et le. bureau, de di- rection de Radio-Canada sont ex- 45" trêémement. sympathiques aux grou-

pes minoritaires.

Réponse

patienter ces deux dernières années |

vent ne sont pas relayés «par les! l'entreprise |

14 novembre 1939 | |. Je suis chargé d’accuser réception

!sée à notre Bureau des Gouverneurs. |. Québec, mais pour tout le! Î -Croyez bien que votre suggestion : Canada, à travers lequel sont dis-

"FT MERCREDI # SEPTEMBRE 1940

L tt 12

QUELQUES DEMANDES

“Demande _ Résolution

‘de: li Société du Bon Parler Fran-ladoptée par les. Associations Nat. cais à la Commission Canadienne de | de l'Ouest. ‘Radiodiffusion.

Réclamation au Président de Radio-Canada de

Ligue d’Action Nationale en faveur des minorités de l'Ouest.

. ‘octobre 1936. 3 juin 1940 si ttendu qu'après quatre années | : - Au nom de la Société du ee hs ec il ns er ee re les Français au Canada je vous trans-} faut constater que la part faite au Fe à l'Ouest a ne ation ne le texte d’un ordre du jour dans | français dañs les émissions cana- jet des émissions de R Nes rs lequel cette Société exprime le. voeu; diennes est ‘déplorablement insuffis Ne vous semble-t-il ee ee + que ia Commission de Radiodiffu-| sante et de plus, qu’il sera toujours rait : lieu He és de oe sion fasse usage de l'anglais et du | excessivement difficile dans ces PER us Fr a ÉRRULES A0 |français dans l'émission de tous ses ditions de faire au français la part! dressement qui. us E rs FPFOBraNne. qui justement lui doit être faite: les tin à nos comp Re Si Notre société vous serait recon-\trois Associations de l'Ouest sié- sas naissante si, s'inspirant de l’esprit| geant actuellement à St-Boniface Manitoba, recommandent aux Socié- tés Nationales de tout le Canada, . le

8 mai 1933!

plus qu'aujourd'hui, nous estimon: que’ chacun doit s’employer dilige- ment à maintenir ou à créer une vé- | ritable unité nationale.

administratif, la Commission vou-!

encore, nous. sommes pleinement | 12it | bien faire rendre partout et tou- premier novembre 1936, de loppor- | Gas jours un même honneur aux deux |tunité de créer un réseau -français 5 jenanes officielles du pays. de radio-diffusion et de.l’inviter à Demande Æ k % : cet effet de du = retard uneŸ es Associations Nationales de Demande enquête re a es provinces | fOuest à Radio-Canndé pour Obte. anglaises du Canada” nir l'émission religieuse; L’Heure de la Société St- Jean-Bartiste . de} æ +

| Dominicale, Québec à. la Commission Canadien-

ne de “RÉNOVER il mai 1933 :

Mémoire le VA. C. FC. de la Saskatchewan à Radio-

___{ 8 septembre 1940 Nous apprenons par les journaux

du Québec que les émissions de

na I ne faut pas perdre de vue ‘qu’au | | Ca da l'Heure Dominicale du secteur fran- Canada il y a deux langues officiel. | 17 mai 1937. |çais de Radio-Canada vont repren-

les, la langue française et la lan-| Ce mémoire important comportait:

gue anglaise et qu' elles doivent ‘se! 1— les demandes:

rencontrer partout.où les gouverne- a— radio-journal quotidien.

ments ont juridiction sur un pieû | b— émission quotidienne de 30 | minutes (prédominance de |

parlé)

dre le 29 septembre.

Ainsi que nou$ vous l'avons déjà fait savoir dans le passé, nous aime- rions beaucoup avoir cette émission religieuse hebdomadaire la seule é-

mission religieuse de Radio-Canada

ission: relève du gouvernement fé-

déral nous’ ‘demandons des progran:- c— émission vocale quotidienne }qui conviennent aux Canadiens- mes, bilingues et que ces derniers. de 15 minutes; (chant fran- ArençAis en tant que tels.

soient aussi bien bilitigues dans tou- çais). a : DE UE |

Îtes les autres provinces que dans Ja d— version française de toutes|. _ Plainte

province de Québec. les communications offici-|"

+ + + elles. Des Ass. Nationales à à Radio-Canada re Un tableau comparatif des ë- au sujet : de l'émission “Un homme Lettre missions de Radio-Canada. [et son péché”.

Ce mémoire fut présenté aux gou- verneurs de Radio-Canada, los d’une entrevue à Régina. Fe |

14 septembre 1940 Je viens vous aviser que l’épiso- de “Un homme et son péché” qui a

de l'Association des C. F. du Mani- toba au premier ministre Bennett. |

le 20 mars 1934

# * + ses Nous croyons que. les émissions | do ne per : ns 2 radiophoniques doivent être bilin- Lettre- sep e, à 1h45, était “le” même que celui qui avait été ir-

gues, non seulement pour la provin- de l'A CF. C ! 31 janvier 1940. {persés de forts Se cana-| Vous comprendrez toutefois qüe “| diens-Français. . jcette réponse ne nous satisfait 1. L’expériencenous permet, d'affir- point. C'est la même qui nous est È

: employés de CBK, inexcusable au

: à mpts ;

mér «que-c’est l‘un des plus.prompts faite depuis que l'Etat a pris en sein d‘un organisme d'un Etat. bi-

lacheminements vers la bonnë nté ins «l'administration de la Radio. Tingue La: pli È faite. au. français à da :

terqui: doit régner entre les deu radio, est: en! “régression d'année ‘&

radié le vendredi de la semaine der- nière, 6 septembre.

.. Cette erreur n'est attribuable, À ce. qu'il appert d'après votre répon- se du 31 août, qu’à l'ignorance des

à Radio-Canada. |

Aussi ne croyez-vous pas quil

du Canada. gratides TRES ASS à soit. téièps enfin d'y apporter le Fa

+ %k *

‘Lettre | Puisque le Canada tout entier F4

; bilingue il faut en prendre son: part LOUE

a ASS Can.-Française de l'Alber-| | : En demandant: une part équitable. Aie

fta;và à'la” Commission de la. Radio.” : français, :

5 PR Us l'suggestiohs : d'où ie! nuls. -au- |”

cune aügmentation” de ‘frâis. sion “Equipe de Nuit” a su plaire

mettez-moi. ‘de: renoüveller : aelques, aux auditeurs de la Saskatchewan. ‘f* Quant aux intentions de nos di-

recteurs, en ce qui concerne la série

[toute entière, je ne saurais vous

idonner le renseignement. désiré,

puisque ma juridiction se limite

CE sn

CR -31 décembre 1935. | Quant. aux. émissions : strictement

elles se font de plus en plus rares. Les Canadiens français se plairaient à ‘entendre certaines émissions choi- sont aüjourd’hui limitées au

(Suit une série de 7 suggestions) + *

Lettre

réseau: fran ais. | : - $ + à de l'A. C. F. C. à Radio-Canaëa.| strictement à la province de Québec. | + + + : Réclamation | : A 19 mars 1940. Vous trouverez ci-inelus un tableau Réponse

par la: Société St-J. B. de Montréal, horaire que nous soumettons à 1 a : .. ( ses sections et aux sociétés na: | | Société. à titre de réalisation immé- a M. René Morin à l'A. C. F. C. ‘tionales strilées): | iate. La seule solution adéquate . : 14 février 1940 31 mars 1936. ! l sera l'établissement d'un double ré- à ÿ- à ongtemps que noue vou- lseau. En attendant nous demandoñs nn. : la aie lation c. f. a” Société nous donne tout de inces des Prairies un ser- réclamations suivantes: js ue > ee -radphoique tan 4 çais ôu’ au = l'annonce bilingue sur tout le suite, ce que comporte ce tableau-

-Moins quelques émissions françaises horaire. C'est: à un minimum imrné- ,

_ réseau national, au début et à! mai fin de tout programme diatement réalisable. | nn ‘7e ais nous avons à faire face à des a fin de tout progr . _ ‘ôbstacles «l’ordre matériel que nous

Radio-Canada. Puis 1 ou 2 espérons pouvoir surmonter éven-

Nous vous invitons à appuyer les:

de votre part à l'équivalent d’une fin de non recevoir, nous prenons la liberté de vous éerire de nouveau [pour porter à votre connaissance

x onse {quelques unes des plaintes qui nous Nous vous faisons remarquer dès p con uniques Chab les sers

le début que des See entière-| de la Commission Canadienne de la| Mercredi le 21 août, ceux des nô- ment français, même ep tôt et| Radio à l’Ass. d'Education de C. F.|tres qui étaient aux écoutes ont été le plus souvent possible”, ne répon- | du Manitoba. ‘ldésagréablement surpris d'entendre

dent pas du tout à ce que nous a- - le 4 avril 1933 |la répitition du disque passé le mer-

. Manitoba. à M. Charlesworth, Prés.|dé des annonces bilingues au cours . de Ja C. C.R. toutes vos émissions radiophoni- Le Se ques trans-canadiennes.

le 27 mars 1933.

‘connais tout de même que l'irradia- tion de ces programmes - ‘aurait Le PP se faire sans aucune -lacune..-

En plus depuis le rapport: “fait par le Comité du Sénat sous la prési- dence“du Sénateur ‘Charles Beaubien, nous: avons lieu d’espérer qu’on é- | tablira un poste. ur à. ondes

_de PROS de parlé. 29 avri! 1940

“il serait impossible d’appliquer les ‘| récommandations de votre mémoirc

QUELQUES AUTRES PROMESSES l'immédiatement pour la raison qu’a- vec l'introduction de l'heure d'été, le

FE & : 128 avril, une réorganisation généra-

FT her predominance of french pro-! le de notre horaire s'impose afin de

| _- [grammes, M. Charlesworth. said: régler nos programmes d'été Nos VA. C. F,.C. “They do not predominate, but We ; programmes sont dressés très long-

|

du Gérant de Radio-Canada : aux « As- programmes quoti diens il ot ne : . 4 Fe sociations Nationales. çais, ou à prédominance an © pires nr. | ve

; 1‘ 81 août ‘1940 | ;, Lilas. D 4

çaise. ES Les | ‘Je suis sensible à vos, reproches |p Un plus grand ARE de pro-| | Vos | re. Réponse probablement mérités contenus dans . grammes irradiés dans l'Ouest % à | “Hau-gérant de la Société en | votre lettre du 24 août 1940. Je re-|: du Canada avec prédominance EN ris “näda à l'A C FE. C.

RURT Réponse

:vOns demandé. Nous prenons note que la reconnaissance par votre Commission des droits’ légitimes du français ‘au Canada suppose la dif: . fusion ‘de concerts : Fes -et: quel:

Lettre | Morte de

de VASs. | Catholique “ränco-Can. de la. Sask. à l’'Honorable. R. B. _Ben- “Aett, premier Ministre,

ra ï 42 mars 1984.

se

11 faut bien tenir. éompte que: “le français est la langue: du tiers, de a “population : ‘canadienne, : Pour “être vraiment canadiennes, les émissions ‘de Ja Commission doivent être. bi. !P : lingues. Le bilinguisme. est en.ef-

et’ un des traits cara. téristiques : de notre pays. Les 40, 000. ‘Franco-Ca- nadiens de:la Saskatchewan. se. per-,

ue e français. gène à: la: “Radio Je

jettent : de compter: Sur : ‘vous. pour | - a

M. Chariesworth me charge. ‘de vous informer qu ‘il a reçu votre let- tre. en ‘date..du 27 mars. . +

- Je demeure votre bien dévoué...

| Réponse

‘du Premier Ministre à l'A. c. E c. le 27 mars 1934

Le premier Ministre me charge d'accuser réception de votre lettre

du 12 courant’ relativement, aux pro-

grammes français de la Commission Canadienne de la Radio. - M. Bennett me prie (de vous dire qu il a pris) bonne note de vos re- présentations,’ qu ‘il s’est fait un de-

‘membres du comité étudiant _pré- ‘sentement cette. question: ut

4

das

credi précédent.

‘Hier plusieurs ont été décus CO |ne trouver aucun lien entre lémis- | sion du 23 et celle du 16. A moias que les: employés de CBK aïent agi sur l'ordre exprès de la Société, üs |” se. seraient surement abstenu ‘de re- [mettre sur la table tournante, le 21, fe disque du 14, 5 ‘ils avaient su ‘dis- tinger.. ‘entre un discours : “et un. au- tre. 'N’avions-nous pas raison de de- mander, Je 19 mars, qu'au moins un

dés annonceurs ‘de CBK soit de. lan- He

gue. française? Trois émissions d'un quart. d'heu- xe chacune-par semaine, n’est- pas

| vraiment trop. peu. dans un pays. bi-

lingue. Ce: n’est pas. ce à -quoi. nos gens s’attendent,. c'est très loin de

- ce que- nous. avons demandé... voir de soumettre à l'atténtion: des |.

ce PROBÈMES

—NOUVELLES

.… Le goivernement ‘Pé-

tain fa. annoncé que. les navires de

guerre ‘français qui. ‘ont- tranchi Gi

tar:la semaine dernière, se ren: Uk VEm re: colonial français.

* OÉTAWA: - = Dans Ja liste des |. aides-de-camps honoraires de S. €. le: gouverneur général, et <omman-| danten chef du ‘Canada; on remar- que “particulièrement” ‘lés noms. du major général T..L. “Tremblay, ins- ‘| pecteur: général de PEst. ‘du Canada; .| du colonel’ AE. Dubuc, d'Ottawa;

{du lieut.-col. M.. ren iGrison, égale-

‘| ment: d'Ottawa; . du: maj..H. E. J.

“enler de Montréal; du surinten- ‘dant: L'AUR. Gagnon, de la Gen-

darmerie royale; dulieut. P: Major:

oficier- de ‘marine, . Montréal.

courtes qui sera la. vrai: 0tQtIOn à! ie: Radio-Canada à

: Quand : inous serons plus ricties, | had been received from educationa-|

‘| meilleurs arrangements, mais-pour

“au Sénégal dans ! un pürt del.

. le 21 janvier 1937 | cannot ignore 40 per cest of the po- itemps à -La - Société: Radio-Canada .m’est | pulation of Canada.

| propriétaire d'aucun nee dans vo-|“He added that letters of commen-

ee province... dation of the French programmes |

à l'avance, et ces projets é- | taient «arrêtés lorsque votre lettre lu 19 mars nous est parvenue. Quant ‘au: principe, de votre recommanda- [on c'est .à.diré un azcroissement

programmes français pour French’ is taught in the Universities YOuest; ceëi est un problème qui ne

and schools, the students get very | cesse d’ocuper la considération sym- little re of PES how it pathique et active de mon collègue

sounds. le: Dr Frigon-et de moi-même. Je

nous «pourrons peut-être faire deilists in the West, saying that while

Jinstant nous devons nous limiter à ‘environ: deux- heures’ par jour- de programmes. de la Société Radio. |

Canada sur notre réseau. ©: | AS | [réalise de plus ‘que vos recomman- es + Extrait du Winnipe dations-ont été incorporées dans les 4. Réponse “Tribune Fnac sugestions. déjà faites depuis quel-

de’ Ridio.Canada à l'A. C. FE. C. ‘ques années. .

: . le 27 avril 1933 ‘Monsieur Charlesworth me char- ge ‘de Vous : ‘informer que les: ques- tions que. vous soulevez ‘sont réfé- rées à notre ‘département des pro-

26": juin 183 “We. ne ignore 40 per cent’ of |: E n the population of Canada. I have re: : ponse es ceived a total of only 72 letters côm- Le da Société Radio- Canada aux ÀS- plaining about french.out of 800,000: oéiations Nationales de l'Ouest. radio owners”. M. Charleswortht” “ae * 6 mai. 1940

CRUE PTE

grammes pour. considération. . LR È ceuse réception ‘de vos lettres Re . Réponse à du ler et. du 2 mai. Il y a deux ans Extrait. du. Manitoba Free). sôl nous. eut .été possible ‘financière- < Préss' He du Directeur dés Programmes Ri“C-Fment parlant: de créer des facilités ; : à l'A. C. F. GC... . si "transmissions, . il y. aurait eu a-

|cinterviou de M. Charlesworth} ne “le: 17 mars

26. juin 1933}.

: Nous Dome heureux: de: :exiticisms - re s 1 £

s. “Les ‘problèmes - nt: été: essen-

franeverte | tiellément - d'ordre pe

5 matret

STE. TRAVAILLE! I"

‘Cri de joié,. de. satisfaction bien lé- gitime que‘ éclui qui s’exhale de la ‘poitrine de tout brave travailleur, en route, le matin, vers l'atelier ou se dirigeant, le soir, vers.son foyer, a- près une journée bien remplie.

Cette manifestation bien naturelle du sentiment humain que l’on re-

v

trouve chez l’ouvrier chez l'ouvrière, | traduit on ne peut mieux l'état d’à-! me de ceux, de celles qui pour s’as- surer unc subsistance convenable, chaque ‘jour, ne sont pas forcés dei

mendier ou de compter sur les sc- cours dispensés par nos coïps pu- blics,

‘Une fierté que l’on comprend bien s’empare de toutes ces âmes viriles ‘qui vont chercher, à l’atelier, à l’u- sine, ce qu’il faudra, pour he ré- gner la joie, le confort, le bonheur

‘.dans autant de foyers l'on comp-

te sur le “CHEF” pour subsister... DEMAIN. Une satisfaction intime oiné com- préhensible encore. s'infiltre chez tous ces braves travailleurs qui, une fois la tâche quotidienne accomplie retournent gaiement au foyer qu’ils président et ils savent déjà pou- voir trouver, en plus de coeurs ai- mants, un repos amplement mérité, une sereine tranquilité d’esprit qui se traduira de mille façons.

C'est done que le travail n’abru- tit pas, ne déshonore pas l’ouvrier,

. l'ouvrière.

AU CONTRAIRE, le travail rend l'individu plus DIGNE et sa vie .s’embellit par l'effort qu’il apporte pour LA MERITER ENTIERE-, MENT.

Est-il un chant plus beau que ce- ‘lui que fredonne le travailleur, au.

sortir de l'usine, en songeant “aux - siens”. qu’il va, dans quelques ins- tants, retrouver chez lui?

Est-il un sourire plus franc, plus attirant, plus expressif que celui qui

‘anime sa figure quand il aperçoit, à son arrivée, le premier être cher qui viendra vers lui comme pour lui

souhaiter la “bienvenue”?

Quel que soit le milieu le tra-

vailleur est appelé à exercer son

métier il n’est pas d'occasion. qui, chaque jour, ne s'offre à lui pour faciliter l’apostolat dont il est res- ponsable..

En effet, l’ouvrier se doit de rem-

sta es Maures

Cette nouvelle formule d'engagement pour

L'ÉPARGNE DE GUERRE

vous a été envoyée par la poste

MERCREDI 25 SEPTEMBRE 1940

(JOIE AU TRAVAIL JOIE AU FOYER

Fe Le sans Éaretoe le rôle que la des- tinée, la l'rovidence lui ont confié.

Il n'en saurait être de plus noble, | de plus glorieux ‘que celui qui leur | permet de mettre en pratique, de | matérialiser le désir. du Christ-Ou-| vrier; TRAVAILLEUR!!!

Les nôtres (il'faut entendre rar! ilà tous ceux, et ils sont nombreux,

| qui ont conservé quelque sentiment de fierté, de noblesse) adorent tra- | ‘vailler et le prouvent incontestable-

iment. | L’autoritté civile a peut-être hé- isité quelque peu avant de confier à! nos travailleurs une tâche quotidien- ne à laquelle ils s’habitueront mieux; qu'à celle qui leur était dévolue | {lorsqu'ils allaient mendier. | Sans doute se trouve-t-il des cas | la reprise de la tâche quotidien. | ne est devenue chose pénible, après | de si longues années d’inaction, de misère morale ou physique;. puis il se trouve aussi des cas lamentables

jqui méritent d’être autrement solu- |tionnés.

Mais faut-il cependant admettre |que la JOIE DU TRAVAIL est vi- sible sur les figures de tous ceux qui aujourd'hui peuvent GAGNER pour VIVRE! :

L'activité renaît dans presque | tous les domaines et les tâches se multiplient qui demandent une main d'oeuvre sinon aussi habile qu’au- trefois, du moins animée de courage, stimulée d’une énergie qui ui fera honneur. |

La, nation a le droit de compter sur la part que chacun saura appor-| ter à la tâche gigantesque qui est | sienne aujourd’hui.

Le plus humble citoyen a, tout au- tant que le plus puissant, un devoir à remplir.

Il ne sera pas dit que l'ouvrier,

le travailleur, se sera dissimulé, se |:

ss

| sera refusé à remplir ce devoir. Non! L'ouvrier de chez nous est la vaillance même et il ‘suffit, pour s’en rendre compte, de lui faire le moindre appel ou encore, de répon- dre à son désir le plus cher: lui pro- curer du travail, lui ouvrir les por- tes de l'atelier, de l’usine, qu’il trou-

ve depuis si longtemps fermées. . Ce serait 5e mentir à sai-même Que de ne pas reconnaître la valeur

des nôtres au travail. Ce serait s’amoindrir

misérable-

Let le. valeur-au. propriétaire, est-

Pour chaque versement mensuel de S4 vousrecevezuncertificatde S5 S8 LL LL " EL LL sito

S20 *” "525

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| ENRÔLEZ-VOUS POUR LA DURÉE DE JA GUERRE dans l’armée canadienne

“de 2,000,000 d'épargnants

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réguliers Je To

Soyez l’un des premiers à vous enrôler. ‘Vous recevrez: sous peu votre formule officielle d’enrôlement—le nouvel

engagement pour l'épargne

de guerre. Servez-vous en

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Votre banque se chargera de tous les détails

mettra à

à Ottawa vos versements mensuels” et les certi-

elle trans-

ficats-seront adressés directement au propriétaire entee gistré: ‘Ce service ‘est gratuit.

Voici un moyen efficace de. ee un moyen sûr d'épargner.. Et souvenez-vous. que vous Te donnez pas ‘votre argent; vous le prêtez, d’une façon fort avantageuse ; . vos .épargnes ainsi. placées augmentéront de 25% en 7 ‘ans Z ! Surveillez votre courrier : il va vous apporter cette nouvelle formule officielle d'engagement pour ‘l'épargne de guerre. Employez-la et aidez à écraser Hitler. Des

. ‘formules. additionnelles sont à votre disposition à votre

ue à votre Comité local d'épargne en temps de - guerre. “Enrôlez-vous maintenant! .

- “Servez ‘par votre épargne

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de guerre |

RAA SES

ché.

ee Éd en

La Survivance

LITURGIE

ment que de s’avouèr incapable de l'effort demandé et les ‘nôtres ne | sont pas de ceux-là! Dieu merci!!!

Le coeur rempli d'une joie éébor-| dante, ils marchent al

des heures durant ils accomplissent | couragetsement leur tâche respec-: - tive.

Pentecôte EVANGILE

! Et quand, la journée finie ils re-! (S- Jean, Chap, IV, V, 46 à 53.) :

| prennent le chemin du foyer l'é- pouse et les “petits” attendent, | quelle confiance ne ressentent-ils pas |

le fils était malade à Capharnaüm, et quel bonheur ne FeRpEL pas déjà

äyant appris que Jésus était venu leur âme? te étre Muse és et le supplia de venir chez lui pour à | guérir son fils se = l'homme”, les enfants à leur père ne! eus: lui dité Si ue Four 2. : Si vous ne voyez des!

Éd se définir, vraiment, par des | prodiges et des miracles vous au-

Il faut assister, muet, pareille Mu es Le pos SÉHERCURS scène pour en demeurer rue Le ee Ale 14 A sie SEE ment saisi, pour éprouver une émo-| tre fil ne É de Fu Ur tion à nulle autre pareille. Dee est guéri, H erut à la parole de Jésus, et s'en retourna. Comme

Le bonheur, la joie, la satisfactionlil était en chemin, ses serviteurs

GIE |

vers le poste qui leur est désigné et| Le XXe Dinanche après Ja: français,

idont l1 rédaction s’est transportée

| 5 | len France libre; article le chef in ce temps-là, Un officier dont:

tat de se : de Judée en Galilée, alla Le trouver, ! Après avoir écrit que les corps pro-

RE

NOUVELLES DE LA GUERRE

(Suite de la page D lobe invasion du territoire colonial:

|

toire définitive à 1911,

De vastes incendies ravesront plu rte ports qui devraient servir de:

É ONE CE à Er. As t jre : ; : !

Les dépêches de l'avant-midi si- . : CHNASIOR POUrEnnERes

É wvleleotrr: 0 ! jgnalent un article.du maréchal Pé-; PRICIEURR

tain à la “Revue des Deux-Mondes” :

En France, l'an n'aura plus droit -qu'à 12 onces et demie de pain par jour; à la même quantité de viande. et à moins de 2 ones de froiunge, chaque semaine; à un peu plus d'u- ne livre de sucre, à moins de 4 on-

: ces de riz, à 4 onces et demie de, essionnels doivent s'organiser, SOUS ; savon par mois. El ne reste presque :

la surveillance de l'Etat, en associa- ! plus de malières grasses disponibles, tions corporatives, du point de vuc:très peu de café, il n'en arrive | économique et social, le maréchal | plus, non plus que de riz, les deux : ajoute que le libéralisme, le capi-: étant des produits exotiques, qui ve- 1 talisme et le collectivisme sont en naient de loin par la mer. France des produits d'importation ! | : É plus ou moins récente, ct que, pour. Pétain vient d’effecter 30 mil retourner à ses traditions, la Fran- lions à la reconstruction des régions :

d’État affirme que la liberté ne peut exister que sous une autorité en &-

faire respecter cet obéir.

que procure le TRAVAIL refait l'homme, lui redonné son naturel et l'anime de tous les sentiments qui motivent sa raison d’être.

vinrent au devant de lui, et lui di- rent que son fils était guéri, Li leur! demanda à

heure, lui. dirent-ils,

Le TRAVAIL ennoblit le coeur, vivifie le corps, élève l’âme de tous ceux qui le pratiquent chrétienne- ment.

Souhaitons ardemment qu’il vien- |

l'heure même Jésus lui avait dit: Votre fils est guéri; et il crut en lui, ainsi que toute sa famille.

ne bientôt combler le désir ardent, REFLEXIONS de tous les ouvriers que le hasard! N'attendons pas le moment de la des choses n’a pas encore favorisés. | mort: recourons aux sacrements.

E. L. 2 : L en état d'en profiter, et, pour nous

| retirer du péché, il faudrait une sor- Îte de miracle. Si cependant la mala-! ldie nous surprend, ne désespérons |

| pas, quand même jusque-là nous au- +

BOITE AUX QUESTIONS

| dans la personne de ses ministres, [-! lmitons l'officier de l'Evangile: pur:

| |

Un catholique qui a divorcé peut- ble à celui que prie avec foi; la bon- :

i il se remarier avec une autre catho-! Îté de Jésus-Christ est inépuisable: |

lique du vivant de sa femme? [| peut-être nous accordera-t-il ce qu'il! prétend qu’il le peut en donnant un}; refusé à tant d’autres. Mais, sa-!

certain montant d'argent au prêtre: | chons-le bien, le plus sûr est de se!

on lui dit qu’il ne le peut pas, mais préparer à bien mourir par une vie; il ne veut pas nous croire. Le peus sainte. L'affaire du salut éternel est | il ou non? une chose assez grave pour ne pas

Il ne le peut: pas. Énpogons mê-|ja risquer follement. D'ailleurs, ce. me qu’un prêtre se laisse séduire que Dieu peut faire pour un infi-

par une grosse somme d'argent et |dèle que le connaît à peine, le fera-

acepte de faire la cérémonie reli- itil pour un chrétien qui a longtemps gieuse, le mariage est nul devant

: Fe AE abusé de ses grâces? Pensons-y, et Diensee devant l'Eglise. Un' prémier dès aujourd’hui mettons-nous. dans mariage validement contracté est un

l'état ‘nous: Jr être | à empêchement. qui dirime tout ma-|lheure de notre mort..

que le:mariage. n’a pas cessé par laj7 mort .d'uni des. :conjoints. 1%. + *k

Ka “4

DÜne personne a volé différents re Si eïle les restitue ou en re-

CRISTOBAL, Zone du Canal. Le :transport-américain… American. Le-; ion": est parti pour New-vork Pi SA réfugiés européens.

DECO T FREE

lelle. engore tenue d’accuser son ‘ché de vol? Je suppose qu elle ne {Pa pas confessé auparavant. es -

hr Oui, elle’ est. tenuë' d'acétisér-: son MOSCOU. = Alors que des dizaines: |vol, que la restitution”soit faite ou 4e milliers de nouveaik"coniserits ‘éh-

inon. En d’autres mots, la restitution itraient dans l’armée pour y subir un, Îne dispense pas de l'obligation de ! entrainement prolongé, les journaux 'confesser son péché. ide Moscou déclaraient qu'il est né- + + cessaire d'accroitre la puissance de, | l'armée rouge en face de la situation: Est-ce que toute persoune ne ; meurt doit passer par le purgatuire, avant d'entrer dans le ciel? ' Chose certaine, personne n’entre-

| ROME. Le ministère des Corpc-

rations a prohibé la construction de; jra au ciel avant d’avoir payé toutes! ises dettes à la justice divine, c’est-|

| nouvelles fabriques de spaghetti, vu la

la dire avant d: - été fié de | surproduction de cette denrée en Ita-

4 t ne , ee “lie. Le décret du ministère défend: out péché véniel et avan Avon ! aussi l'agrandissement des fabriques!

subi toute la peine temporelle que

: ete. Qi lt WE actuelles.

iau péché. Si l’on excepte que'ques

grands saints, la plupart de$”"hom-;

Îmes auront des arérages à l'heure ñe

l s : Fe ; : {la MOEE et devront achever de payer a abatu un hydravion anglais dans els ileurs dettes dans les flammes du:

ie : i parages de Casablanca, au..Maroc. lpurgatoire. Trois membres de l'équipage de l'ap- | ER > {pareil britannique ont été rescapés . Est-ce vrai qu’une personne qui}|Par un patrouilleur. " ed avec son scapulaire est cer-; : tainement sauvé par la Ste-Vierge? ! i On enseigne communément que le ! port du scapulaire est un gage de} salut. V a-t-il des personnes qui ‘sont mortes avec le scapulaire et} ‘qui se sont damnées? Ce n'est pas | impossible, mais ça doit être bien!

rare. | + +

Une personne qui est en état de | péché mortel et qui meurt auss'tôt | qu'elle a fait un acte de consEHon | parfaite, | passer par le Suigatoire?

C'est posible, en principe, maïs en | | pratique. le cas arrivera bien rare-! ment, parce que rarement l'acte de Ponte sera fait avec une ferveur capable de purifier l’âme de tout | péché et de toute peine due au |

ste # |

aire

_

CA

Quand la foudre !

SR rer passe-t-il 4 Dés

à # Dans ma confession générale, le | confessèur m’a demandé si j'avais fait tel péché et au lieu de” répondre | | oui j’ai dit non, sans l'intention de: cacher un péché, mais par oubli, distraction. Suis-je obligée de re- | tourner à confesse ou puis-je rester | tranquille, attendu que j'avais tin | ue de faire une bonne confes- | sion? | l_ Vous n'êtes pas 6bligée d’accuser c péché-là dans votre prochaine si vous l'avez déjà acusé dans une bonne confession particulière; sinon | vous êtes tenue de le confesser la

prochaine fois.

aq quelle heure il s’était|c'est qu'elle ait le sens des réalités. | trouvé mieux. Hier, à la septième] La liherté, c'est bien; mais la jeu-!

la fièvre l'a! nesse ne pourra jamais se conten-, litaires quitté. Le père reconnut que c'était! ter de la liberté de crever de faim, : être 200,000 hommes de troupes

Nous ne serions alors presque plus]

rions vécu dans de longues infidéli- | ltés. Recourons promptement à Jésus,

des prières ardentes demandons non; : pour la fin d'août, reporté cette vic-" jouera ‘pas en Méditerranée. | point la santé du corps mais la gué-|

irison de notre âme. Tout est possi-.

rss SD équents LRU longtemps ——_————— -balions. coloriés. ‘et: des prix, furent:

NOUVELLES BREVES

viCHY. —"On rapportait officielle- | ment qu'un avion de combat français:

ce devra rejeter les erreurs exté-'irançaises dévastées, rieures. Ce qui importe, dit-il, à la! jeunesse, en vuc de la vie à venir, |

Samedi. 21 septembre ; On apprend dans les cercles mi- anglais qu'il se trouve peut-. a même si en compensätion elle jouit lemandes qui effectuent des exerei- apparemment du droit d’électeur.. ces de débarquement sur la côte nor- Quant à l'égalité, les hommes, é- végienne. On ne croit cependant pas gaux devant Dieu, doivent l'être au-! lque ces concentrations de troupes: tant devant la loi et avoir chances : contituent une menace plus grande | égales de gagner convenablement ! que les troupes rasemblées sur les leur vie. Pour ce qui est de la fra- côtes de la Manche: on va même ternité, idéal magnifique, mais com- ! jusqu’ à dire que ces exercices sur, patible seulement dans des groupe-:la côte de Norvège n’ont par d’au- ments naturels tels que la famille tre but que d'inquiéter les Anglais ‘et la patrie. :et d'occuper les troupes’ allemandes. : - On se demande si le chancelier ! Vendredi, 20 s 20 septembre : Hitler n'a pas renoncé à ses projets, i | d'invasion en se rendant compte que Les journaux lonanté qui, il y'ses chars d'assaut légers sont vul-: ‘a 4 ou 5 mois, prédisait la victoire Inérables aux canons antichars an-. ‘de lAllemagne sur l'Angleterre | glais et si la partie décisive ne se:

| MORINVILLE

AIDE APPORTÉE PAR DES JÉURES

A la Croix-Rou ve

Un groupe de jeunes de Morinville ! 405. L'admission dans le partaire de ont donné un magnifique exemple aux! Maureen était de 001 sous à 0.05 moins jeunes, ces jours dernicrs. en: sous. Le programme consistait en organisant un concert au profit de !a, ‘chants, danses, récitations ct deux pe-" Croix Rouge et de la quête faite en: ltites pièces. Les pièces avaient été vue de l'achat d'un “Spit- fire”. ce écrites et exercées pur Lucille Ca- coricert ‘était ‘organisé par Lucille ca-'ouette et Thérèse Béland, Fe) 0 ‘cuette. Mäurcen “Purgusôn et siries pectivement de 8 et IL ans.

Robirisôn. “toutes “trois âgées ‘de 6 Tous:ceux qui’ y Das tete ie furent | DRE é 1: émerveillés du succès’, obtenu: Des

3!

distribués aux, assistants .et le: profit:

: | fut de 52.30. : . Hs ur Une mention spéciale à it : ; SAN ce Californie. . Frank: 'férte à _ Lucile Caourtte pour avo lnox, secrétire de ia Marine a décla-; égrit.… et préparé les piécettes, ainsi

REC

que‘ “malgré "Tes raids allemands. : qu'a Dés Anglais maitrisent la üitéation ef ce travail. Hélène. Caoustle, et Cet: jse tiennent à chancés égales avec gette Comeäu méritent. é galement dés) 5 ‘leurs aüversaires". El ajouta -que les: remerciements ; pour leur concours FAnglais égalent et même surpassent, P porté à rs ! ljeurs adversaires en construction aé-, Ceux qui figurérent au programme | lronautique. et que À réside le pro- furent Thérèse Béland. NE Lu-; | blème. cille et Hélène Caouette, Maureen. ‘Ferguson, Pierre Gosselin, Shirley Ro”: | DETROIT. La compagnie Pac- binson, Louise Thériault, sans oublier :

le petit Maurice Caouette, qui bien

)) ux contrats ! kard vient de recevoir deux iqu'âgé que de 2 ans, chanta sa pe-.

| e, le premier au montant de. ee 'tite chanson. i | 125 millions donné par la commission : | i

nt jais l_ Ceux dont les noms suivent assiste-| nt an S' ld'Achais du gouvernem ES, ent à la fête: Blanche Caouette, An-

on De a gela Montpellier, Corinne Montpellier; avions R €:

1 âti- ,Lucille Mecntpellier, Maurice Mont-' | 82 LR De LR Pe jpeler. Re Montpenes Jr, Line!

| vernement américain cette fois. pour

juné commande de 3,000 moteurs du!

| même type.

, Hélène LA- : brie, ‘Marie Bruens, Madeieinc Trot- Jeanette Tremblay, Valérie!

| | i tier, : Gcsselin, WASHINGTON. Le secrétaire Comeau, Louis Bokenfohr, Le | DRUAL Gordell Hu, a nié Passertion (soin, Heleu Cuouctte, Lucille Ca- Hoe Wenaelte Wilkie, candidat 1e lcuette, Maureen Ferguson, atphonse ! publicain à la présidence, selon leque 1 Caouette, Shirley Robinson, Thérèse le président Roosevelt aurait été l'ar-i iBéland, Maurice Caouette, tisan de l'entente de Munich de 1938: |Thériauit, Laurent Tremblay, Lucille: !Morineau, Yonne Chevalier, Adorles : :Cremblay, Lucile Trottier, Thérèse: Cneévalier, jeanne Comeau.

omba sur la maïson

Î

| | l | LONDRES. On croit dans les, milieux qui font autorité à Londres | laque les intenses raids de la “Royal: Air Force” ont gravement compra- |

i mis les plans d’invasion de Hitler.

FABRIQUÉE Ÿ AU CANADA Ÿ

(New-York Sun).

a DE Tr

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CU a î

“Thérèse Béland qui l'aida dans

Joan Lamarre Georgette|

Louise |

da MEILLEURE CIGARETTE DE VIRGINIE AU CANADA

“LEON BLUM

(Suile de la page 3) pacte de Munich et 4 réclamé une déclaration de gucrre.

Depuis l'armistice, Léon Blum au- rait fondé et publié un journal sous le nom de la “République sociale,” ‘pour battre en brèche le ministère Pétain et surtout pour lui reprocher d'avoir supprimé la france-maçonne- ‘rie et les autres sociétés secrètes.

Dans Ile ‘“Jour-Echo-de-Paris”, M. *FernandeLaurent publie un article qui constitue un vérilable réquisitoire contre Léon Bliuï:'Al à principale- ment pour but de démontrer que ia restriction de la production par la

semaine de 40 heures et par les grè- ves ët par l'aide à l'Espagne a grande- ment contribué à l'impréparation mi-

‘litaire de la France à la guerre et à .sa défaite rapide.,

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LE MARCHE

PRIX DU “WIIEAT EBCOARD”

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22 CS EE

ST-JEAN, Terre-Neuve. L'ami- ral J.-W. Greenslade, de la marine n- méricaine, vient de terminer, en com- pegnie de sir Humphrey Walwyn, gouyerncur de Terre-Neuve, une tour- née générale dans l'ile afin d'y déci- der de l'emplacement des bases cé- dées à la république américaine.

Coëûte moins de

te par cuisson _erdinaire

kr.

5 s nt passèrent | leur “Labor ,Dàÿ , À Calièente, Mexi- | to. Et: Me B.. A passi sien à! “Big Bear Lake, “resort” montüfnes.

Ho og ke Î

Véndrédi matin, le G sept, Mme Geo. Sarrasin .va répondre à son- netté de sa porte. C'est un méssaget

vartt de le lui présenter, voilà qü’il se mêt à chanter! Mnie Sarraëin | Fbsté stubéfiée. Jamais auparavänt

un déi vééur. s'était rhis à chanter sur nent de terminer un joli tour. d'auto. tifié la Providence, nos braves A LC'est qu'il lui délivrait tm! ‘Ils se reñüirént d'aboïd à San Fran- miérs ônt coupé Je grain, dans les

son: .be Oh, méssage. de bons souhaits d'anniver-. saire.. de .naissance et qu'il lui fallait | chanter: “Happy Birthday to You”.

: Le soir; revenue de sa surprise, Mme, Sarrasin était à diner, dans un grand ! café. Voilà l'orchestre qui. commence | à jouer “Happy Birthday”, “Tiens”, se dit Madame, “birthday” ici ce soir. Êlle était s’étirer cou et à chercher 1

pet om.

HO

Belle petite pluie rafraichissante ici} 15, à la sale paroissiale de l'église Ste

l'autre midi. Ces premières pluies d’ au- tomfiie sont pour nous ce que soht vos prefiièfes néiges pour vous du Nord. Nous sortons, dehors pour en attraper . quelqués gouttes. Mais rien que auel- oe os Elles sont si. da

ct HN AL

NOUVELLES DE PICARDVILLE

- Le: 2 Septembre. M. ‘jean Frodette ünissait $a déstinée à Mlle Alma Meloche de St-Albert. Les nouveaux époux sont partis pour leur lune de miel que nous leur souhaitons

longue, claire et prospère. FA sk BG

l'étude . avec ardeur;

faire entrer le français dans le pro- gramme. . : le temps perdu ne revient plus” . surtout quand il s’agit d’une matière

.:. si importante.

Æ # g

saire de Mme Damien Cloutier é- tait -célébré.’au milieu’ d’un nôïh- breux concours de parents èt "d'a mis. En Nr ' Ces jours derniers Mgr Pilon at- compagné de avocat ous rendait visite à notre curé. , | M OR # | Le Rév. Père Genest recteur du Collège des Jésuites et l'abbé Ket- chen, curé de l'Immaculée Concèp- tion était aussi de passage au pres

bytère,

+ % %

M. Oscar Patrÿ a maintenant famille ici, nul doute qu'elle va se blaire; les enfants fréquentent no- tre école publique:

+ *

Quels actions de grâces les fermi- ers ne doivent-ils pas rendre à la divine Providence qui les a favori- sés cette année d'une température exceptionnelle pour tous les travaux de la récolte. Mais quelles offences à cette, Infinie Bonté de la pait de|. ceux qui travaillent en de pareilles circonstances le jour du Seigneur.

Lesschâätiments que sa justice di-

Cd

‘* monde devraient ouvrir les yéüx à est parmi nous depuis quelque temps

=|

FN ABELPENE. Une en. spéciale de 1,650 constables s’est or-| ganisée afin de prévenir les actes de'fiveur obtenué äbiès Promesse faite|au docteur Mousseau ou mêmé at-

* sabotage et l'espionnage dans les in-|; à. St:Joseph. dustries ‘vitales pour la défense na- |

tous.

tionale du pays.

BOMBAY: Dans un discours de 100 minutes au congrès hindou, le mahatma M. K. Gandhi, a réitéré sa détermination de ne pas embar- räSssér la Grände-Brétagnié en cette héure critique, mais la, ajouté aù’il n’en résulterait pas pour éelà l’ex-

; tinction dès pee des Iñdes à Ja Jlibéité. -

STOCKHOLM. —: Les sotialo-dé- mocratés. du premier ministre Der Albin Hanssôn ont été: “élus: à 184 sièges. de Chambre basse du par-

lement suédois au cours ‘des élec

tions. Cela réprésente un gain de Tir; on à dû. appeler le docteur. Nous.

22 Sièges.

dans pose so ; d | Deux d'elles vous mouillent de la té- | | |

| | | Mme Jean Ouellet a souffert d'un ymal de dents. Deux petites ou une ler osse. Il y a assez de Ouellet ici pour dui, lui appoïte üñ télégramime. À-|

|tionne par leurs noms propres.

| fâche iss gens de 1ä-bas énormément) |

|béc en passant Par le Mäine, |cénairent à Floride, ils ont un} “quelqu'un qui ont Unifis daris l'aviatiün, én passant paï |

à Washington D.C., et ils revinrent par “heureux !

lorsqu elle s'aperçoit qu on est à sa! table et que Ia chanson noimmait son

Itoinette Boucher. Porteüsé de l’en- \fant, Mme Arthur Racine.

Nos enfants se sont déjà mis à: malheuréuse- | ment d'étude de la jangue mater-| de Âdalbeït Boissonneault et de Po- nelle est: mise de côté. Il serait à |niela Rivést. Parrain et maraine An-

désirer. ique. les contribuables, duétonio Rivest et Loretta Potvin de | la chose intéresse, s’empressent de | Morinville.

Qu ‘ils se rappellent qüe |:

det. Parrain ét marraine, Henri

lron.

pérer à en juger par les apparences des chämps. IL semble que les ré- coltes ont mûri trop vite. Nous au-

même cette année, remercions en la Providence.

ques côtès et la clavieule en tombant |

i Î vine fait subir en moment au Be l

jen avais pour.deux ou trois jours

[tasse de. -breuvage. Deux fois j'ai été

TELEPHON AIT

te aux pleds. | sh

M. Louis Dumaine vierit de ter- iminer la toilétte de sa maison. Celä zu embellit donc hôtre petit viliige.

| C'est M. F,. Villecourt qui s’est chaï-

la :gé de la peinturcr.

= +

que c'a soit nécessaire qu'on les men-

Data

HU “Avec 16 Fémps splendide et M. et Mme Eugène Ouellet vien- ; belle ternpérature dont nous a gra-

ide paroisse srneele Cette : année

meilleurs conditions et à Pheure ae- | ituelle les battages sont fort avan-

Puis se rendirent au Massachuéett en| de Re est bon M géné- itravèrsänt les États du Centre, de läl e blé à donné en certains en- |

à ise rendirènt dans la province de Quëé- Re ee . ei * + # puis des- Mercreüi

lcroit de téavail, car presque par-| di M: Arsène Plouffe é- tout la. paille avait été versée par! pousait à Cold” Lake Mile Yvonne Îla tempête, et par conséquent dif- | Dery. Iis sont allés prendre un voya- ge à Edmonton et nous sont arrivés vers la fin de la semaine. Nous sümmeés très heureux de

Mme Plouffe au milleu de

:isco: (nous disons Frisco ici, ce quil

au Sacié-Cbeur. A ve Saison .. chemins Sont beaux Mais il calcule prendre assez de temps.

1ficile à couper. Le temps sec et l'absence de ge- lées ont remis en vogue l'idée des

| combine” moissoñneuses- bat-

Le Cercle Jeanne d'Arc eût un sou” |tuses. Ici, M. Arthur Béhiel a fait pèr “Pot Lück” dimañche dernier, le

[les Etat du Sud, Eh tout, 36 états, une prôvinicé, 0800 iiiles.

de se ee CET

:e

et s'en déclare très satisfait.

ei Ouellette. Aux nouüveiux mariés se

nôs meilleurs voeux de bonheur. . + *

Croix. Assez bién rébssi. Pariie de ; caries ensüite; “500” ét “bridge”. E- Malgré le travail pressant du tés-Vous de ceux qui croient que c'est moment, un certain nombre de nos plus “stylish” de joüer 1E “bridge” que! gens se proposenf d'assister au Con- le “cinÿ-cént?” Le Cercle dansera lé! grès eucharistique d'Edmonton. 28 au club dés Chèv. Colomb. Nous espérons y voir une bonne dé-

légation de la paroisse en récon- | jRasanee à Dieu pour le beau temps,

i Lau j] nous donné. Fe

les heureux parénts d’un garçon.

6 *

Mme

Hilette de Montréal. + © »

& Mile Marie Rose Bureau ména- BAPTEMES ie

Marie, Antoinette, Olive, Aline, enfant de Henri L'Heureux et de Yvonne St-Louis. Parrain et mar-

rainé Alexandre C. St-Louis et An-

jde correspondance au journal de- | puis le commencement de septembre, ‘il n'est peut-être pas. inutile no- ter les changements survenus dans; s les écoles. Mile M. J. Viens a pris des machihes à battre. la direction de l’école Paradis. C’est | UNS ont déjà le résultät de leur la- | Mile Blanche Landry qui enseigne | Pur. En moyenne récolte ? ne sera |maintenant à l’école Ste-Claire. päs bien forte.

4 + + %

Plusieürs jeunes filles et garcons Pendant la semäine M. le curé / ; ARTE Thibault sera absent à Edmonton vont continuer leurs études dans lés ! te couvents de Morinville ou d'Edmon- de ù compte assister au congrès ton et au Juniorat St-Jean. ücharistique.

: RE |. M. ct Mme Antonio Lemay ont M. et Mie Philippe Bouffard, ont fait baptisé:un nouveau. bébé sous

présenté au baptême une fille Qüi|j. noms de Joseph David Antonio. à reçu les noms de Marie Laura Mae Son oncle ét tanté M. et Mmie Da-

Le parrain et la marraine sont M. et Mme Honoré Demers.

CHRONIQUE D DE LEGAL.

Nos ciitivéteuts sént bien occu- accompagnée par son fils René, pés ces jours-ci avec les battages. + k On me dit. que le rendement n'est 5 pas si bon que noùs pouvions l’es-

‘à ses parénts.

ee

NA ÊC

Æ Maïie, Lorétta, Blandine, enfant |

se CA

se DE

Æ Joseph, André, Léonard, enfant de Amédée Garon et de Exilia Beau.

es + + %

s

Béaudet ét Malvina -Beaudet repré- sentés par JE êt Mme. CRIER Ga-

vid Lecompte de Bonnyvillé ser- vaient de.parrain et de marraine.

sie +

Mme Girard de Wanham et aussi | en promenade chez des parents et amis.

6 à “Véndredi" dérniér dans Hi- soûs. tons une très grosse récolte quand} M, l'abbé Roméo Ketchen l’Im- maculée Conception et le Père Ge- inest sont passés à Legal samedi dér- ._ + + + (nier. On se rapelle que le Père Ge-

Mme Hubert Létourneau a eu un|nest est un enfant de Legal et qu'il accident assez pénible la semaine |est le recteur du Collège des Jé- dernière. Élle s'est fracturée quel- suites.

une réunion assez importante M McCallum un chargé: d’affaires du gouverhement provincial pour l'or- ganisation de beurreries. accompa- gné de notre agronome dévoué, M. | Hébert a tenu une intéressante as- gembléè Une soixantaine de per- sotines étaient présentes, les ‘“bat- tages” ont empêché d’avoir salle comble. Le léhdemain sur la rue, et dans lés champs on n’a pas manqué de questionner les heureux privilé- giés qui ont tout bravé pour venir

ss _. Mlle Alvina Morin de Legal en-| Seigne à Bonnyvillé cette année.

"+ & &

de son perron. Espérons que guérison soit rapide. Mme Letour- neau est uñe des pionnières de Le- gal et est la mère d'une très nom-

breuse famille. Beaucoup de citoyens de Legal : Fe !.: ”. lont été témoins d’exploits vraiment

M. l'abbé Emile Brière est revé- | beaux sur la fin de Ja semaine der- nu de Jasper ll a passé quelques | nière: Nos amis, les docteurs Mous-

jours. ; . l'seau, Giroux et Hervieux d'Edmon- bien que: Matn/d'osusre doit en + + *% iton sont. venus faire une tournée 40e 2e ù

Mme Médéric Séguin, de Joussard | de chasse dans nos parages. Mal. | Peu plus ÉARe est Lee d’avoir gré le vacarme des détonations, le | des gens de bonñé volonté, puisque nombre: des canarde ét dés poules | toutes les bonnes volontés travail- | lent énergiquement pour mettre en ne semble pas avoir diminué appré- | n ciablement. Notre médéein lotal, sureté les récoltes. Les ‘battages

Gédxge Whissell, prétend qu'il fau- vont bon ue Bien . gens ne On nous demande “de publier une|drait soit acheter une mitrailleuse | Couperont que plus tard l'avoine qui

rest pas encore à point,

+ + + M: Vézina Gamathe postées

du “Red and White” restaure son

magaëin général. :

| NO *% +

M. Winceslas. Poirier un de nos

jaider. $

+ Les trävaux Péglise tontinuent,

Reñieréiemients à à St-Joseph.

tacher les canards aÿant Son afri: : ; vée. Messieurs Giroux et Hervieux

“Voilà. douze ans que je souf- ont été plus heureux; on räpporté | frais d'indigestion terriblément mal-|à votre cortespondent crédule qu'ils

gré que je faisais attention à ce que paivenaiént de temps à autre à lo-

élqu lombs däns ‘nos RS den je mangeais il ne se passait pas dix en she SA y Joe du gibier la: forgerons viènt de se construire une jours sans que je souffre d'indigestion; due | boutique neuve, de deux ètages..

Le . ©

Durant nos travaux nous sommes obligés d'entendre les messes dans sous-sol de l'église, la population accépte ce sacrifice et entend la

si j'étais. dérängés. ans mes -repas

avant dé. pouvoir manger un repas me faire Signér mäis sans résultat. rhoÿen. Combién de matins je me suis| Je me suis décidé énfiri de demander levé. âvec.dés maux de tête qui Mmelma guérison à. St Joéeph avec pro- faisaient. souffrir. terriblement :. . COHI- messe de faire publier et de Famas- bièn de répas je-he prenais qu'une | ser ‘des abonnements aux Annales St Joseph et de faire. une du ro- ratoire. Je. puis affiïmér que je ns pas eu d'indigestion . depuis 4 mois. et ‘que je mange de tout; et comme nous tra-|- vâillons fort sur la. fèrme se geons.beaucéup. C'est avec. un grand plaisir à: re- à conmaiséänce que. .Je viens. remplir. le promésse que j'ai faite. _Motre très réspectuesé, Mad. A. R

liant. Nous espérons entrer dans no- tre temple restauré à la fête de la Toussaint. . * 4 Miles Cééile Côté autrefois du restaurant de Falhér est aujour- d’huï à l'émploi du : magasin Coopé- ratif de. Falhér. :. . * * +

: Dépuis quelques mois nous avons le. bonheur d’avoir. plusieurs: nou- veaux ‘paroissiens. En effet nous miptons . de nombreux baptêmes. Voici .quelques noms: Añne Claire Dotinne Ain file Atëbin. et de. Marie

nhofen. M. à Doùcét et son

épouse ‘ont. Tété respébtivemient. .p&r- |.

tellérnént: iiglade, qué j'ai cru mou-

ävons-dépensé, beaucoup d'argent pour

2

Notre cüré a commenté la visite | lavoñs eu utie réception d'enfants de

messe ävec un. -recueillement édi-.

|

|

Ditnériche de 22 &epteribre, nous

.Mätie. Ce fut ünè bieñ belle céré

|monie: 14 nouvelles, et M. le curé leuï fit uün beäü sermon de circons- tance De beaux cantiques furent chantés par les nouvelles et lés än- cienries avec Mlle la niète de M. le curé acompagnait à l'orgue: La pré- sideñte, Mlle Annette Vauÿeois ai- déëé de Mlle Jeannetté Royer, vice- présidente, leur mirent le ruban pendant que M .le curé les recevait.

saluer | Enfin c’était une belle cérémonie et

nous tous malgré qu’elle ne soit pas inconnue | sister

| l'acquisition d’une de ces machines | 2Yant souvent visité sa soeur Mme |

furent contents d’avoir pu.y

+ + #%

Notre curé nous a anrioncé di- manche qu’il serait absent pour une

M. et Mme Jéan Laramée sont couple de jours Parti depuis hier déjà, il nous semble sentir un vide: dans la paroisse, puisque la cloche | Albert Ouellètte recevait ; s’est encore tue Heureusement que| récemmeñt en visite sa soeur Mme | cette fois c’est pour pas longtemps.

* + =

fo

Plusicurs se proposent d'aller af:

Connie none: avons vas nvasé gère au piésbytère de Cold Lake | Congrès qui se tiendra cette année est venue rendre une courte visite à Edmonton.

+ + + | C'est avec grand plaisir que nous

On entend partoüt le £rondement | apprenons le rétablissement de Mme Quelques Norman” Lambert. L'âge et les priè-

res triomphèrent du mal. Elle pour- ra revenir dans sa famille. Nos

| meiléurs voeux de guérison com- plète.

rain et marraine de l'enfant.

Si +

Marie Ahne Jeannine Rita Ouel-

let,. fille d’Adélard Oüellét et de Jeanne ,Arcand,.a eu comme parrain et marraine M. Joseph Tremblay et Poméla Charest. :

+ + à - Marie Denise. Simonné Aline Do- ran, fille de Paul-Emile Doran et d’Yvonne Chevrier a eu pour parrain et marraine Irenée ‘Chevrier et Si- monne Chevrier, ‘onélé"et tante--de. l'enfant. Ces deïniers ont été rem- placés par Albèit Jean et son’ é- pousé comme procürateurs.

e< à à

Joseph Paul Gérard Guénette, fils (Suite à la page 7

‘| dans leurs greniérs le fruit de 1

. MERCREDI'25 SEPTEMBRE 1940 5 cu nome dise RUE Gites

LAC FROID

Erssse 4

Une mue activité se À Éanireste thez nos férmiérs, patticulièrement de ce temps-ci. C’est qu’ils amäséent éür | dûr läbeùr. La Providence a veillé sur ses enfants, car la récolté, én général, a été bonñe. Il y à dünc lieu de remercier le Bon Dieu. Mais A importe de bien prier pour que id” fameuse question du blé se règre bientôt et pour le plus grand bien de tous.

+ +

Pat malheur M. Pruüënt Pcirier a. VU sa grainerie passer au fei. Elle était toute enrichie de $a belle récolté. Et n'eut été la charité ét le dévouëèment de sès voisins accourus sûr les lieux tout serait devenu la: proie des flammes. Un fahal, pour- | tant posé. à distancé, occasiôfinia l'explosion d’un baril de gaz. Grète à Dieu, M. Poirier, rejeté à terre, ne reçut aucune brûlure, Mais dañs |son émoi, il tomba et se bléséa à lune jambe. Nos sympathies aux chers éprouvés et nos meilleurs sot- haïits de prompt rétablissement.

FE + *

Un autre fermier bien connu M. David, qui cherchait à trouver de l’eau pour abreuver ses animaux, a Lété éprouvé d'une autre manière. Un beau cheval tomba dans de ces puits et on }l'y trouva mort. |Cétte perte est bien déplorable, | quand ün säit que cette famille est i grande. Que Bon Dieu donne à ces braves gens la force de porter | |leur croix et qu’il les récompens: | de leur esprit de foi en face de l’é-

| preuve.

k # % : |

Nous avions cette semaine pli | sieurs distingués | visiteurs, entre | dutres M. l'abbé Thibault, cûré de La Corey, les RK. PP. Pascal ét Pratt, tous deüx en quête d'enfants i pouï leurs écoles indiénnes. Rév. Père Pelletier de Le Goff, les ac- compagnait.

k* + *

Avant de tefminer, je m’en vou- drais de ne bas Signaler la visite du distingüé” Rédacteur de la Sur- vivance, devent en Ces derniers

‘temps: “labonnéuï” : pâr excéllence | P

de notre journal. catholique et fran- çais, Il ést reparti. enchanté de sa visite, cär plus de pour 100 de! la populatiof récevront Je journal Is tiennént; cés braves gens; à con- server le dépôt sacré du vieux Qué- Le ec: leur Langue et lèur Foi chré-

oi tienne: Deo Gfatia.

lbassement de l'Eglise nous a UE

entendie un homme capable de leur No

ASSEMBLEE À ST. PAI

L'Association des Pareñts Re

Il nous a ‘fait peine d'appreudre | que nôtre bon curé, le R. F. Foùr- nier, qui était sous les soins ‘dû médecin depuis plusieurs jours à l'hôpital Ste-Thérèse, a subir une opération mercredi dernier. .Lé R. P'est en bonne voie de guérison. us lui souhaitons un plein réta- blissement et un retour prochain. parmi nous: . Æ *%

Les RR. PP. Leclainche et Mi- chaud, vicaires, sont à faire la vi. site paroissiäle. Comme toujours

rios paroissiens ‘sônt heureux d’ac-

|

cueillir les représentants du Bon Dieu, convaincus que leur visite äp- porte infailliblement avec elle les bénédictions du ciel. |

EE à +

Jeudi, le 19 séptembre, avait ijieu à la salle de l’école de St- Paul une importante assemblée de PAssocia- tion des parents et instituteurs. M. J. M. Fontaine agissait comme pré- sidént. Il adreësa quelques paroles de biénvenue aüx: personnes pré- señtes, puis Mmèe D. Belland £é:

crétaire, donna la lectüre du pro- tès-Verbäl de l’assémblée précéden- |.

té. Invité à adresser la parole, M. W. Güthfie donna ün bref exposé de ce qui a été accompli par l'As- sociation dépuis sa fondation, Il in-

sista surtout sur dés réponses: à un questionnaire soumis à la der- 4

nièré ässémblée et se rapportai ; aux. dévoirs -ou .étüdes faits à: la

maison Aie Plusieurs desc

[l ‘aéSiétanté doriafent “léur opinion |

ES ce sujet. Il a été démontré que les, ‘élèves qui réüssissent le mieux

font ceux qui, étüdient “plusièurs |

heuïes par Semaine. à maison.

‘Le personnel Vécole, Réligieu- :

ses de l’Assomptiôn et professeurs —ïqües, était s au complet. D est re- gfettablé cépéñidant que, lés barents

l'plus and nombie. Espérons _au'à la «prochaïne äsSemblée céux ‘qui a- vaïent, été empêthés venir prou- jveront par. leur présence l'intérêt qu’ils portent à l'éducation de leurs! enfants. . Le Moda. Ces jours derniers un intendie a

J mälhéurétéémient “détruit la récolté

de blé. de M. Joseph. Laraméé. Un meuloñ päille Prit Feu et en quél ques instants les flimmés se com-

muniquèrent au grain ‘détriuisant |

à l'exception de. quelques minots. On nous, dit que M. Laramée se. trouve à _pérdre ainsi environ 650 iinôts “sit S.syMpathies lui sont actuisés dans cette épreuve qui vient de l'attéindre. K + + : Mme Edmond Mailloux nous ést |

‘arrivée dernièrement‘ d'un agréable |

voyage à St-Jéan d'Ibérvillé ét aü-

tres centres de la péovinèé ‘de Qué-

bec. +

“Mine : Lépold ab. et Mile Yvette |

Cariier sont aussi revénues- de Var. : coùvér où: -ellés oùt passer un mois.

‘N ous ; demañdons à à oi es ; jeunes qui devront _ Pâssèr nt ék#hien médical ét vüé lénféatnémient :

iilitäiré

aa di

D 4e :

énfranças.

‘bieri: youloir le faire devant! un: n'médecin . :

|

Preinière 4 Assemblée de nos + Guides

Comme par le baissé la : prière ou- e l’Assemblée.

C'est aveë ‘grand blaisie que nous souhaitüiis à notre rouve! aum nier, le Révérend Pérè Jeän P'atoine, O. M. I, et à notre Cheëftine Mme Bouchard la plus tordiaie das bien. vénues. Nous leurs soukiäitons tout ile. succès possib'e ën léur pronet- {tant notre entière cvopération.

I1 füt décidé que nous aurions nos Fee déux fois pat mois cha- | que premier mardi et troisième lün- di de 8.00 à 10.00 heures. Nous nows ferons un plaisir et un devoir d'y. être présentes, afin de pouvoir dis- cuter ensemble les différentes entre- prises qui surviendront pendant l'an- née.

A la demande de notie Aumônier Mlle Märyvonne Roy accepte ies deux charges d’assistantes, assis- tante à la cheftaine pour les Guides Aiïnées, et assistante à la cheftaine pour les Guides: Mile Thérèse O’Neil est nommée assistante à Mile Ro- lande Morin cheftaine des Jeannet-

‘Les autres changements sont remis à la prochaine assemblée.

Pendant l'assemblée nous n’avons Li été sans discuter la question des costumes. Après avoir obtenu l'as- sentiment. de chacune, nous croyons que l'ancien costume est très con venable” pour l'apparence et très préférable pour ja bounse. Ainsi cha- que Guide Ainée ëèst requise de se procurer la tunique bleue, le beret noir et les bas de soie noir, Nous appuyons sur point cependant, que .ce costume ne sera révêtu qu’à vertaines occasions, très rares, tel- les que nos Fêtes Patronales.

Nous remercions le Rév. Père Boucher pour l'offre gracieuse qu'il nous fit de sa salle pour nos jeux. Notre Aumônier acquiesca à notre demande de se procurer le jeu de (badmington) de: préférence aux au- tres jeux. Comme les fonds ne suffi- sent pas pour cet achat mous pran- dront sur l’argeñt Que nous aurons des honoraires. Les honoraires se

vr

i payeront par trimestre; 25c tous les

trois mois, ce qui fait $1.00 par an. Ainsi nous pourrons mieux nous or- ganiser.

“Pélérinäge -au cimetière

Diméacie* ‘dérnier à 3 heures les patoissiens “de ;. St- Joachini et de l'Iminaculée Conception faisaient leur pélèrinage annuel au cimetière. Fa- vorisés d'ine magnirique température unè g'ände foule était réunie pour visiter les tombes de famille et offrir lèur prières. aux chères âmes des dis- parus. La procession autour du cime-

-|tière en disänt chapelet se fit sous

la direction: des Pères Boucher et R. Ketchën.

.Uù sermon fut donné ensuite par le RP. L. Tremblay, O.MI., mission- naite.de St. Sduveur de. Québec.

“Je vous asSurerai un pain plus D savoureux, À

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Sans yeux, parties | pâteuses

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3

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MERCREDI 25 SEPTEMBRE 1940

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CARTES PROFESSIONNELLES |

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LA PETITE

me . rente]

“NOUS VOUS SERVONS MIEUX”

: | k à g ; Marie-Anne Isabelle Doris, fille! L D Hs ne se comptent plus les succès de tous genres obtenus| (Suite de la page 6) ide William Doris et d'Isabelle Arm- if DOCTEUR C. H. LIPSEY dans notre province (Québec) depüis l'institution des Caisses: de Camille Guénette et d’Adrienne : 5278 a eu comm parrain ef mar (f DR L. O. BEAUCHEMIN DENTIS . populaires: bénéfices accumulés grâce à la pratique progressi-!Roy a eu comme parrain et mar. ,"4ife Albert Doris et Hélène Doris. | fl PIÉDECIN £T CHIRURCIEN e ve de la petite épargne, goût plus prononcé pour le travail per- raine Frank Roy et Alÿhéng ta! 4% % L: NS Heures: Sh. à 5h. 30 ne et l'économie, accroissement de l'esprit de charité eti brecque. 0, | | Théodore Octavien Joseph Bru d ie is De PS a entr'aide, souci d’honné : i ésinté- j il, | si + ou: 1. | ; a te êteté <e affaires, dévouement désinté Camille Joseph Nadeau, fils de; lotte, fils de Walter Brulotte ct de & Nous parlons français 5 ne . \ Salin Nadeau et d'Alma Nadeau. ' Dora Pellant. FE = es On peut se demander toutefois si notre population urbaine! P°"0it et Alberta, ses frère ct} + # % DL 2 Sa ee M . : st A DETTE F ee : ë . 4 à = LS _ ' : 4 y | et rurale se tient assez au courant de ces résultats merveilleux, : ur ont été le parrain et la Mars L. P. Mou seau, ÀAf D., L.M.C.C. J. ERLANGER

. ES | : : “aine Marie Blanche Sin » Lavoie, MEDECIN E : surtout si elle en tient compté au point de s'embaucher de plus! "77°: es Rs TÉPECIN ET CIHRURGIEN

n : PAT : ë ATP + d'; NS: ï en plus dans cette armée pacifique qui groupe déjà des milliers ru Re ee É FArPAN S2f et 597, Férite Fogier et des milliers d’adhérents. La plupart des gens connaissent: Marie Antoinette Clémente ant Henri Benoit Carpe et Blanche Ë sans doute les données générales concernant le but, l’organisa- bert fille d'Homer Lambert et de: Lavoie U tion, le fonctionnement d'une Caisse: ils n’ignorent pas tout ce! Dora Renaud a cu comme parrain

Spécialité: Examen des yeux. Traliement de la vue, Ajustement @e verres |

Résidence 9710-108e rue 303 Edifice Tegier Edmonton, Aïtberta

Téléphone: 2-9-4-5.9 Tél.:,2-7-4-6-3 Rés.: 2%6-5-8-7

à RATE À ; ct! % + * il : - qu’il faut de dévouement et d’abnégation de la part dés fonda- maraine Gédéon Lambeit et Aurore : . + : Rex teeurs pour maintenir une telle association dans une paroisse: : Lambert, - { Marilyn Mae Roy, fille de Louis [@ DOCTEUR A. BLAIS DR A. O’NEILL préjugés nombreux, subtils, parfois mesquins, à combattre, in-| + % 2 [Roy et Heslop à eu comme Dana : SPECIALITE: CHIRURGIE : DENTISTE quiétudes et tâtonnements dès débuts, incompréhension, chez! Joseph Fernand Philipe Loiseau 2 Marraine Eugëne Koÿ ct Thérèse 3e étage, Edifice Banque de Montréal 397 Immeuble McLeod certaines gens, de l’idée d’entr'aide sociale sur laquelle est basée: fils d'Alphonse Loiseau et de Ban! 20% M- ct Mme Charles ARCS Angle lère rue et avenue Jasper Téléphones: Rémi : 3-1-7-1-7 le système d’une Caisse populaire: l’un veut emprunter un gros'che Pinard a eu comme arenine ee OI CREUSE DROGOTRtEUrs. | Téléphone: 2-4-6-3-9 Eds 2-4-4-2-1 montant dès qu'il a une part sociale engagée; l’autre veut em- | marraine Fernand Pinard et Lalita! FU l: se E) 4 de . CR RS < # D An non garanti par un espoir! Pinard. s | Joseph Edouan Henri Gervais, | ; , -] ï + + *# | gi % Tage rt £ : - , : | fils de Guy Gervais et de Berthe Dr E. Boissonne: ; . On connaît un peu toutes ces choses... Mais faute de con-! Joseph Sylvio Paul Emile Aubin, : Constantin a eu comme parrain et | onneault, BL. MD. PE. POIRIER, B.A., LL.B.

. fiance en soi, et parce que l’on n’a pas devant les yeux des sta-| fils d'Oliva Aubin ct de Grac MEDECIN ET CHIRURGIEN AVOCAT

ia Mo-| marraine les grands parents ma-

tistiques qui donnent le coup de barre aux indécis, l’on ne tient} rin à eu comme parrain ct marraine ternels de lFenfant Ernest Constan | Bureau 3234, Edifice 'egler Milner, Steer, Poirier, Mertland & Bowker pas plus que cela au progrès de la Caisse, ou ce qui est pire,iSylvio Morin et Simonne Fortier. tin ee Elise Comeau. H - l'éléphone, résidence et bureau: 2-1--6-1-7 ; FdMice Banque Royale on reste à l'écart. L'idée a été semée, elle a germé, maïs ne porte + +2 | | d | | Avenue Jasner Edmonton, Alta, pas les fruits que, normalement, on serait en droit d'en atten-! Marie Emilie Jocelyne MGR PS Pr ae mu ||] a RUE EN EEE none dre. | | | de Roland Viens et de Lucille Thé- BRIDGE : | 1 TE Ne . Ce qui intéresse davantage els gens et les encourage à don-:rien a eu comme parrain et mar- À. : DR JOSEPH BOULANGER. GERARD ST-GERMAIN, L.L.B. ner leur adhésion ou à persévérer dans l'oeuvre commencée, ce,raine Wilfrid Viens et Emilia Char- - MEDECIX ET cIuR | AVOCAT et NOTAIRE | sont les statistiques. On est toujours anxieux de connaître des. bonneau. ses DE URGIEN Avet M. Neil D. Maclean, CR. bilans précis et détaillés qui donnent une vue claire et pratique ; Fr + * Æ Edifice Bculange FPE 616 Edifice McLeod ; des progrès obtenus en tel endroit la Caisse fonctionne de-!: Marie ‘Thérèse Lucille Sévigny jeunes hommes à côté d’une|h A Fe Tél. 21456 - Rés. 83511 : Edmont puis tant d'années en comparaison de tel autre endroit elle ‘fille Lucien Sévigny et de Ger-|demi-douzaine de jeunes filles. | : _ ou HS est encore à ses débuts. ps :trude Lanouette à eu comme parrain| Une jeune fille bien ne peut|h |— H y à tant de bien à dire de cette oeuvre éminemment so-|et marraine Marcel Séviguy et Cé- | entreprendre d'inviter elle-mé-[S ; DOCTEUR A. CLERMONT ERNEST A. COTE, BSc., LL.B ciale dont le but est de provoquer êt d'assurer la pratique, si mé-|cile Sévigny. M. et Mme Donat Ga-|me un jeune homme à l’accom- |ÿ DENTISTE | VOCAL No 0: en connue, de l'épargne, même la plus modeste, celle du sou, ete de gnon étaient procurateurs. pagner. Alors, comment faire if Docteur er. chirurgie. dentaire vus a venir en aide aux personnes qui peuvent avoir besoin d'emprun- | + + # pour s’inviter un jeune homme, 5 230 Edifice Birks, Angle 104 : Téléphone 28128 ter pour mener à bien une entreprise commrciale ou autre. Par-, Marie Marguerite Dora Bruneau, |tout en ne l'invitant pas? Le|l Tél: 2-5-8-3-8—Réside 8.0 Le Re ETUDE SIMPSON & MacLEOD ce qu’elle est basée sur l'esprit de charité et d’entr'aide et aussi fille de Emile Bruncau et de Béa-lmieux est d'inviter tout un|l | 24 Edifice Banque de Montréal, Edmonton grâce au renoncement qu'elle exige de ses administrateurs, la.trice Chailler a eu comme parrain groupe de célibataires qu'onlh =. Caisse populaire progresse à une allure parfois surprenante jus- | €t marraine Octave Chaïller et Mar- | distribue ensuite, au hasard de | DSCTEUR PAUL HERVIEUX qu’à accomplir des merveilles. EURE Bruneau. |présentations ou des capri-|à DENTISTE Il existe aujourd’hui dans notre province 521 Caisses hien! RUE 'ces, sur telle ou telle chaise du | Délai Hurt dental Sue Es vivantes, dont l'actif global dépasse $11,600,000.00. Ces Caisses,!_ Joseph Raymond Denis Ferguson, salon, à côté de telle ou telle|f 7 Ce A LOUER qui ont débuté sans un sou, ont maintenant un avoir-propre en:fils de Hary Ferguson et d’Anita | brune, châtaine ou blonde. . 239 Edifice Tegler argent de près de $1,700,000.00. Le nombre des sociétaires atteint Lavoie a eu comme parrain ct mar-! ‘C’est un choix qui fait l’objet|E Téléphone: 22216 Résidence: 22086 les 160,000. | ‘raine Eugène Lavoie et Goergianna ie mille consultations. É : À nie Al Et ce qui est encore plus merveilleux que les chiffres, c'est, Levesque. Si S __ | : C'est un choix qui.ne dois pasN fee

que les Caisses populaires sont devenues une véritable école de: h Paul Turcotte fils de Bey <'ODérer à la légère, si on: veut à travail, d'économie, de coopération, un excellent moyen d'ap-j Jr : re a a anne (que le club de bridge survive|h ' plus de bonheur foyer: ‘© a anne. at -Dri 3 aité” porter un peu plus de.bonheur au foye |Dussault à eu comme parrain | jusqu au printemps d’ensuite

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A nt ; T0 EE riobhhs RER È Ë . | Car il est important de jouer À | 41 Fr « mn ; TOR - | Ar (E Action Populaire) | L'abbé Léo FOREST ANNE PEANQUE Dussauit et Ma- laux cartes aussi longtemps quel . - “VOTRE SATISF ACTION EST NOTRE SUCCESS” és a i Ë su TT a 7 la neige couvre les trottoirs. .. |. Jl M

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{sonne de M. Dan. MacDonald. Il é-| .La sépulture eut lieu à Athabasca | QU’il y aura de , | itait âgé de 84 ans dont 55 passés au milieu d’un grand concours de au thé dans les armoires. Aussi|ÿ dans cette partie d'Edmonton, Mo-| parents et d'amis venus de partout | ICngtemps que les mamans vou- |} irinville, Legal, Waugh et Grosmont. | jusqué d’Edmonton. ‘dront bien faire un café dans

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vina Lapassé décédait il y a 36 ans! veilleux, madame!” et d’autres

type écossais allié à une vraie ca- : Se ; NICHOLS BROT ER | | | | RPOURNIe adienne française du Québec a tou- | POUCheS, pour répondre: "Vous |E *OTH Western Transfer & Storage La famille MacDonald venait de| "0077. Tangese Cu Queocc à Lou ne me dites pas. Il était bien! MACHANISTES 8

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8:

Comités ormés

L'OEUVRE DU COLLEGE DES | JESUITES |

Ouverture de la campagne de souscription |

CE

pour Le cam CARNET SOCIAL

Edmonton

ne ne du

! Athabasca. Elles sont pour Vancouver mercredi, M. Alec. Lagassé, de Sangudo, é- Fe également en promenade chez | M. et Mme Louis Normandeau.

repartics

DISCOURS

nomme

| suite de la page 1

M. Paul Turgeon, de l’R. C. A. Fr. F pa Hi Saskatoon, était en congé peur quei- : HART Le Comité d'Organisation du Collège des Jésuites communi- ques jours chez ses pacents, M. et t | que aujourd'hui au public la composition des différents comitésime A. Turgcon. qui vont se partager le travail au cours de la campagne qui CES doit bientôt's'inaugurer. | |

Les premières adhésions sont connues; déjà l'on peut/semaine à Calgary et Banff. Fr

compter sur l'encouragement de Patrons d'honneur, entre au-| . # OH # L Mme G. D. “Fisher, de Montréal,

| d'une façon désespérée de conscien- : ce humaine. C’est pourquoi la déi- est en visite ici pour quelque fication' de l'Etat est une erreur si catastrophique. :

M. O'Dea, le père au Rév. Père! i : O’ Dea,

M. Lucien Tambert a passé, une : temps.

Nous avons aussi en commun le

tres: Nos félicitations à M. et ‘me. | était l'hôte de Mme M. Hoad, der. ,Sens de l'humour, qui nous empêche S. £. Monseigneur J.-H. MacDonald, Martel Provencher, à la naissance : nièrement. | de prendre trop au sérieux les cho- S. E. Monseigneur F.-P. Carroll, d'un joli bébé. : Ho 1ses qu’il vaut mieux laisser à la sur-

S. E. Monseigneur Ubald Langlois, O.M.. | # % M. et Mme Semard'sont en charge |face. Nous grognons bien un peus. Voici comment seront répartis les différénts comités: Mile Thérèse Beauchemin, fillz du! des soins du presbytère ct de l‘é-|mais ee au savons ne pas | Officiers d'honneur Dr et Mme Beauchemin de Calgary, | glise. on nous en faire. Bien des troubles dans | Président: L’hon. Sénateur Dr A. Blais entre comme étudiante à l'Univer-: Fe Ie monde sont causés par des gens Vice-présidents: L'hon. juge Lucien Dubuc | sité ls 1 Le mariage de a. N: Diotte et | ui s'én font et qui ne grognent pas. . . , | de l

sh

Les FA ! Mme P. Maloney a été béni par le! Les Français ont acquis la répu- illi B. Carleton,

ne Maynard, CR. M. Arthur ee ta des : Rév. Père J. B. O’Da samedi le 21!tätion de toujours arriver à leurs Territoires du Nord Ouest, il! septembre en l'église de la Ste-Fa-| conclusions par un procédé de rai- Conseil Exécutif a passé l'été." $ imiHe. M. et Mme Diotte sont enisonnement logique. Les Anglais sont Re se . L. + Fe : 2 + . voyage de noce dans le sud de V’AI- : supposés procéder plutôt par un: ei

ice-présidents: r Maxime Pilon, P.D. : , », ce-prés g | Mlle Béatrice (Mignonne) Martin, ‘berta. Nos voeux de bonheur aux ‘cédé intuitif. Ni l’un ni l’autre de

r. R..-D. Tighe, K.C :

Officiers: M. J ne Ë fille de M. H. M. Martin, est reve-; MOUVEaux époux. à NS co re Fe re ie ; lu Sault Ste-Mari LES eS 7 : d

R.P. Henri Routhier, OM. Le : rate ste on M. Camille Rousseau de retour | prennent d'habitude un point de vue

R.P. Antonio Genest, SJ, thies à Mme J. À. Kéroack, qui chez lui après un séjour à l'hôpital. ! plus sentimental que les Anglais et

M. Paul Poirier, Avocat, ral le adress à % ‘leur humanisme invétéré joue sou- ; a .

Met Piewiep 0 Mate de l'Eucharistie ei usé, Le Rév. Père Genest, Recteur du vent un plus gland rôle que ls rai:

M. l'abbé Paul ne , du Prérieux Sang, es Albanie | Colière des Jésuites, Edmonton, de[son pure. LL md sont

M. l'abbé Roméo Ketchen, L | pasage ici. Rs trop souvent enclins à édifier des rai-|

M. Robert McDonald, Avocat, de à. . ans RE sonnements, pour justifier A. con- |

M. M. O'’Brien,

| . , Comité de Direction (Section fr ançaise) nn ia Mgr Maxime Pilon,

à son poste au C.P.R. M. Roland; NÉE DT Le 0 REA, nn | l'atenaude qui a passé l'été au bu-: M. Roméo Bouchard, secrétaire, | RE de “Banff. Lu | M. Alphonse Gallant, trésorier nu FRE LA Euelen Mana le Propag: { Mlle Rita Philion est partie di-' - Comité de Publicité ou fe r'roepaganac manche «soir pour continuer ses

(Section francaise) tudes au couvent à Ottawa.

L'Hon. Lucien Maynard, + + * R.P. Joseph Fortier, SJ. Dimanche dernier, M. J. A. Ju- R.P. Paul-Emile Breton, O.MI. lien, de notre ville, recevait à sa M. l'abbé Paul Mailloux

[villa d'été du Lac Ste-Anne, $. E.

Comité de Souscription (Section française) | Monseigneur J. L. Coudert, coadju-

Mgr Mäxime Pilon, P.D. : teur du Yukon. Le matin, à la mes- M. Paul Poirier,

ise, Sun Excellence avait adressé la M. l'abbé Emile Brière

|parole aux fidèles et leur avait par- Comité d’Assurances (Section francaise) je de ses missions. On remarquait Mgr Maxime Pilon, farnt les autres visiteurs’ qui ac- M.-J.-O. Pilon,

:compagnaient Sbn Exccllence HHo- = M. Milton Martin.

LS Ant Inorable Sénateur A: Blais, les ‘RR. | Comité des Prêts: ‘(Seétions. française)

PP. LeBris et Calvez, M. et me | ‘M. C.-E. Gariépy, Avocat, | Walter Schack Au diner Mlle Fe) M. J.-W. Pigeon,

pe Julien. agissait comme hôtesse. : er M. le Dr L.-P. Mousscau, : |

LES EVASIONS : | _| problème de Ja protection ue ie di DE PRISONNIERS M. G.-A. Thibault Le. R. .P.: Telmosse, JoebiLes as | M. J.-N Gosselin . . k Ti Te .Le c capitaine Dyde, assistant ‘spécial des Missions + “OTTAWA: EE ‘élle à passé quelques semaines du-

sistant’ procureur des Missions de |Recomiandation” de’ Mon- 18 SEMIN AIRE a % + Haiston! ministre. ci miuistre, a déclaré que’ du courrier A “dc Ja dèf ense,. a “Hétl .rant la récolte, qui est très boñhe: |

S « |. Une messe Pontificale de Requieni Iclusions que .leurs instincts indi- | fut chantée par son Excellence, |quent d’une façon : peut-être plus | ‘Mgr F. D. Carroll à la cathédrale sûre, maïs moins logique. Ste-Marie pour le repos .de l’âme du 1 : Rév. Père Francis J.i * Hughès, décé- i

| le 18 septembre à Montréal. Le

L’Aigläis" -txpique est réservé däns .sés- -mänières, prudent dans |

|Rév. Père Hughes était bien connu fon à d'a adversité. ei ‘ici, et surtout dans”le sud de VAI- us ire es Fe Reel 1. Re é- L 5 aurois a dit du maréchal Lyau Y: (Gharatatou, PE : FENMIE SE “Il a uni au prestige de lintelli- gence et à La force de la passion le M. le se. je L. O. Bcau- Ie puissant du caprice”. Les; chemin sont en voyage dans la pro- ee ac bre de ea Ra ince de Québec. $ . " d Des . de | gance: les Anglais se fient à leur! Les Religieuses de la NE DU ae ee Mn feront le catéhcisme à une classe; qu'il faut faire dans les Ê de petits enfants le samedi. Veillez ! critiques.

bien envoyer vos enfants. | Au moment Anglais et lran-

ee | GUIS. doivent envisager le commun!

huit évasions. Six prisonniers ont été "| repris. un cst passé aux Etats-Unis, l'autre. est encore au large, probable- ment dans l'Ontario-Nord le camp est situé. Ô

Line sat

14 MALE

pli “occupe de HOPRBAE en fave

a

{Chine, est actuellement à Edmonton. |sieur Piuze. Deux : nou- ur | VEAUX CAmps d'intert nement! . ; | dé: du'onfétablire | postal..est, gardé au bureau. de poste , Mme Louis :Normandeau se ïe- eu nouvcduxé <eanipée d'infctuiement pour être retourné en nu de Ces venue, de la ferme à-Girouxville | L’ entré ée et et les Or Ordinations

le grandi Winnipeg cet du diocèse ici.

IT fait plaisir de vair le " dés. Un comité spécial a enquête pré-, eiques -uns d'entre eux ont péri . RE A : lle à eu de la grande visite ici: à

nombre de vocations nouvelles au! Déjà au soir de louverlure les; ia He an ML hi e Ke: |sidé par le colonel Piuze a recomman- sur l’Adorra Star, qui a transporté

jour de l'entré du Séminaire, Le:séminaristes étaient tout près de que l'én prenne des précautions| ces internés vers le Canada et qui

:Neveu de ; pionnières

a

| coure à des moyens ‘d'identification . dit que l'identification des prisonniers

Vancouver, RER contre les évasions, et que l'on re-'a été coulé par l'ennemi. M. Dyde

nombre est digne vraiment des cs-! quarante, et à Ja fin de la pr emière : de notre district qu’elles

érances souvent formulées. |semaine le nombre s’éleva à qua- , pérz : tas lont- été heureuses de visiter ct re-, prisonnicrs. Ces recommandations offre des difficuliés. Trois hommes Ces jeunes gens, séminaristes ! ran os voir les nombreux parents et amis i ; RAT Ne Le 11 le R. P. MecGreel, Fe ont été acceptées ct le personnel des! dans un camp avaient les mêmes maintenant et futurs prêtres vien! C au soir le cGrecl}s Edmonton, Sangudo, Westlock et! a | e | : : nent des différents diocèses de Rédemptoriste, ouvrit la Reste! icamps sera augmenté. noms, ct étaient Lous trois “Herr dok-

l'ouest. Ils arrivent de Vancouver üe : habituelle du commencement de l’an- ! Le ministre a dit qu'il y a eu à date tros”.

|

Nelson, de Calgary, de Régina, de {néc. Cette retraite était en même |

ls Dimanche matin Son Excellence me et dernière année de séminaire. UN DES NOTRES SERA COMMAN | : Monseigneur J. H. MacDonald eon- . Après la messe des Ordinations, DANT'A REGINA iféra le diaconat et les derniers or-. : Son Excellence Mgr l’Archevêque fé- | \

: dres mineurs ({Exorciste ct Ocolyte)} ! licita les Séminaristes élevés aux |

jaux appelés. Les théologiens en- Ordres ct s'adressant à tous il sou- | OTTAWA. C'est un Canadien français, le licutenant colo- |trant en troisième année reçurent | haita à chacun la bienvenue et lainel Georges-Alexandre-Henri Trudeau, ancien adjudant adjoint Masse, G McKinnon et J. Melnner-'citations aux nouveaux diacres et! vinces de l'Ouest, celui de Dundurn, Saskatchewan. On s'attend jney de Vancouver. aux autres dans les ordres; et de! à ce que le colonel Trudeau soit confirmé de façon permanente |

MM. l'abbé D. Campbelle de Van- | même au grand nombre de nouveaux | au poste de commandant du district militaire no 12.

icouver, Georges Tardif de St-Vin-}et anciens séminaristes nous sou- Le cas du colonel Trudeau est un exemple frappant du fait | cent et Nestor Therrien de St-Paul et] haitons Jon succès et persévérance | que les nôtres peuvent s'élever jusqu'aux hauts rangs de FArReS le Père Gérard Hague des Pères |dans leur vocation. re cn leur en fournit l’occasion.

Franciscairs furent élevés à la di-' items pour plusieur la retraite pré- É | les Ordres Minsurs, ce sont: M.: : persévérance dans la voie qu’ils ont ! Gu district militaire de Québec, et qui commande Se

ignité du diaconat. Ces derniers en-! : | paration aux Ordres. W. Fitzgerald de Rivière-Qui-Bar- | choisie, celle de la prêtrise. | le district militaire de Régina (le no 12) et se trouve aussi Fof- TELEPHONE: 9- 1- F

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sation; car cette guerre n'est pas simplement'un conflit d'intérêts ma-- tériels. Nous devons nous montrèr capables de nous élever au-dessus des simples jalousies raciales qui non seulement sont indignes des grands peuples, mais contiennent les germes de notre ruine ultime. :

C'est devenu un lieu commun de dire que les grandes ressources du Canada joueront un grand rôle dans Jcessaire que soit la contribution du la victoire finale. Mais lorsque lai i Canada pour la défaite de nos en- victoire sera atteinte, il faudra é-|72miSs, Sa part dans les règlements difier une paix juste et durable. Ce d'après-guerre sera plus grande en-

à fcore, car il sera appelé à fournir sera peut-être la tâche la plus diffi- | au monde l'expérience de deux gran- cile. ŒÆlle demandera tout ce que

des races vivant en harmonie et le génie intellectuel des Anglais et mettant à contribution pour le bien

des Français peut produire. Si né- général leurs qualités communes.

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